D’ores et déjà qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, le PSG sait maintenant sur qui il peut tomber. Parmi les différentes équipes, on relève plusieurs gros calibres. La dernière journée a permis d’en savoir plus sur les possibles adversaires du PSG pour le tour suivant. Dans la liste, le Real Madrid semble être l’équipe à éviter et Galatasaray la plus accessible.
Real Madrid, l’ogre
Si le Real paraît moins bien fringant que l’année dernière, il n’en reste que la troupe de Mourinho n’a de plus en plus qu’un seul et unique objectif cette saison : remporter le trophée de la Ligue des champions qui permettrait à José Mourinho de partir de Madrid en fin d’année la tête haute. Les 11 points obtenus en 6 rencontres dans le groupe D ne doivent donc pas être pris à la légère, surtout que le Real faisait partie du dit « groupe de la mort ». Une chose est sûre, Mourinho lui ne dirait pas non à une opposition contre son « futur » club... Mauvais signe pour Paris ?
AC Milan, l’ancien gros
7e en série A, à 14 points du leader, 8 points de pris seulement en Ligue des champions en 6 rencontres : les choses ne tournent pas rond à Milan depuis le départ de T. Silva et de Zlatan. Seul joueur dont le PSG devrait se méfier, l’énorme El Shaarawy, l’Italien aux stats impressionnantes. Méfiance tout de même pour Paris, si le club italien paraît prenable, on n’est jamais à l’abri d’une bourde de T. Silva, peut-être encore nostalgique et incapable de jouer contre son ancien club.
Arsenal, l’irrégulier
Irrégularité. C’est le terme qui revient le plus pour décrire la saison d’Arsenal. Dixième en championnat, dix points seulement en six matches de Ligue des champions dont six pris lors des deux premières journées : Arsenal ne traverse clairement pas sa meilleure période. Mais les huitièmes n’auront lieu qu’en février, ce qui laisse largement le temps à Wenger – s’il est encore là – de ressouder ses troupes. Cela dit, l’expérience du club anglais en Ligue des champions peut faire pencher la balance de son côté.
Shakhtar Donetsk, l’Est menaçant
C’est peut-être l’une des seules équipes que toute l’Europe craint. Surtout parce que même si personne ne les connaît, nombreuses ont été les rencontres qui ont vu s’illustrer les Brésiliens de cette équipe. Le dernier en date, le très fair-play Adriano, qui a sûrement offert toutes les chances à son club de continuer dans cette compétition. À noter également que ce club a mis sur la touche Chelsea, tenant du titre.
Valence, la force espagnole
Derrière Barça et Real, le club de Rami fait figure de petit Poucet. Mais attention à l’illusion d’optique. Car avec treize points en six rencontres, Valence a tenu tête au dernier finaliste de LDC le Bayern. Et dans ses rangs, le club compte plusieurs connaisseurs de la L1. Méfiance donc.
Celtic Glasgow, l’équipe qui a battu le FC Barcelone
Le beau jeu, le Celtic s’en contrefout. Ce qui compte, c’est le score final. D’ailleurs les coéquipiers de Samaras peuvent se féliciter d’avoir infligé au FC Barcelone sa seule défaite de la saison. Et d’avoir mis sur la touche Spartak Moscou et Benfica, rien que ça. Prudence donc, cette équipe écossaise est loin d’être abordable.
Galatasaray, l’inconnu
Galatasaray semble, à première vue, être l’équipe la plus abordable. En effet, le club turc doit pour beaucoup sa qualification à la qualification de Manchester United dès la quatrième journée, le club ayant ensuite fait tourner son effectif contre eux. Néanmoins, les matches contre les équipes de Turquie n’ont jamais été des parties de plaisir pour les clubs français, et il ne faudrait surtout pas que les Parisiens les prennent de haut.
Real Madrid, l’ogre
Si le Real paraît moins bien fringant que l’année dernière, il n’en reste que la troupe de Mourinho n’a de plus en plus qu’un seul et unique objectif cette saison : remporter le trophée de la Ligue des champions qui permettrait à José Mourinho de partir de Madrid en fin d’année la tête haute. Les 11 points obtenus en 6 rencontres dans le groupe D ne doivent donc pas être pris à la légère, surtout que le Real faisait partie du dit « groupe de la mort ». Une chose est sûre, Mourinho lui ne dirait pas non à une opposition contre son « futur » club... Mauvais signe pour Paris ?
AC Milan, l’ancien gros
7e en série A, à 14 points du leader, 8 points de pris seulement en Ligue des champions en 6 rencontres : les choses ne tournent pas rond à Milan depuis le départ de T. Silva et de Zlatan. Seul joueur dont le PSG devrait se méfier, l’énorme El Shaarawy, l’Italien aux stats impressionnantes. Méfiance tout de même pour Paris, si le club italien paraît prenable, on n’est jamais à l’abri d’une bourde de T. Silva, peut-être encore nostalgique et incapable de jouer contre son ancien club.
Arsenal, l’irrégulier
Irrégularité. C’est le terme qui revient le plus pour décrire la saison d’Arsenal. Dixième en championnat, dix points seulement en six matches de Ligue des champions dont six pris lors des deux premières journées : Arsenal ne traverse clairement pas sa meilleure période. Mais les huitièmes n’auront lieu qu’en février, ce qui laisse largement le temps à Wenger – s’il est encore là – de ressouder ses troupes. Cela dit, l’expérience du club anglais en Ligue des champions peut faire pencher la balance de son côté.
Shakhtar Donetsk, l’Est menaçant
C’est peut-être l’une des seules équipes que toute l’Europe craint. Surtout parce que même si personne ne les connaît, nombreuses ont été les rencontres qui ont vu s’illustrer les Brésiliens de cette équipe. Le dernier en date, le très fair-play Adriano, qui a sûrement offert toutes les chances à son club de continuer dans cette compétition. À noter également que ce club a mis sur la touche Chelsea, tenant du titre.
Valence, la force espagnole
Derrière Barça et Real, le club de Rami fait figure de petit Poucet. Mais attention à l’illusion d’optique. Car avec treize points en six rencontres, Valence a tenu tête au dernier finaliste de LDC le Bayern. Et dans ses rangs, le club compte plusieurs connaisseurs de la L1. Méfiance donc.
Celtic Glasgow, l’équipe qui a battu le FC Barcelone
Le beau jeu, le Celtic s’en contrefout. Ce qui compte, c’est le score final. D’ailleurs les coéquipiers de Samaras peuvent se féliciter d’avoir infligé au FC Barcelone sa seule défaite de la saison. Et d’avoir mis sur la touche Spartak Moscou et Benfica, rien que ça. Prudence donc, cette équipe écossaise est loin d’être abordable.
Galatasaray, l’inconnu
Galatasaray semble, à première vue, être l’équipe la plus abordable. En effet, le club turc doit pour beaucoup sa qualification à la qualification de Manchester United dès la quatrième journée, le club ayant ensuite fait tourner son effectif contre eux. Néanmoins, les matches contre les équipes de Turquie n’ont jamais été des parties de plaisir pour les clubs français, et il ne faudrait surtout pas que les Parisiens les prennent de haut.
D’ores et déjà qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, le PSG sait maintenant sur qui il peut tomber. Parmi les différentes équipes, on relève plusieurs gros calibres. La dernière journée a permis d’en savoir plus sur les possibles adversaires du PSG pour le tour suivant. Dans la liste, le Real Madrid semble être l’équipe à éviter et...
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