Ce que femmes veulent...
C’est un vrai festin que Nadine Begdache a donné en l’honneur de Vivi Corm chez Nicolas Audi catering, à Rabieh, dont la terrasse a fait le bonheur des fumeuses qui ont pu griller douillettement leurs clopes en bénissant ce délicieux hajj. Zappant le déjeuner du samedi, avec leur époux ou leur famille, une cinquantaine de dames ont répondu présent. Il y avait, entre autres, les trois Mona (Hraoui, Issa el-Khoury et Iskandar), Janine Maamari (la classe incarnée, cela en devient rageant...), May Saab (qui ne sort presque jamais sans son bibi, l’accessoire chic par excellence), Rosy Boulos, Maya Corm, Salwa Hadathi, Mona et Leila Khalaf, Leila Bsat, Micheline Boulos, Nada el-Assaad, sans oublier Leila Ziadé et Sara Salem qui échangeaient leurs impressions sur le département d’art islamique du Louvre. Les conversations allaient bon train et il en ressort que le mois de décembre risque d’être hyperbusy ! Pêle-mêle : le théâtre al-Madina organise sa soirée « fund raising » animée par Assi al-Hallani le 19 décembre ; l’Institut français, qui ne lésine pas sur son espace, ouvre ses portes du 5 au 8 décembre pour faire découvrir les produits de plusieurs ONG, annonçait l’attachée culturelle près l’ambassade de France, la sémillante Carole Pratt, et c’est aux Créneaux que la « so cute » Astrid Honein a choisi de présenter ses sacs et tee-shirts « Greetings from Lebanon » les 5 et 6 décembre... avant de s’installer jusqu’au 23 à Zeitounay Bay.
Entre-temps, et comme un avant-goût de l’expo prévue le 12/12/12 au Beirut Exibition Center, le catalogue peinture dernier cru de Mrs Help Lebanon, Liliane Tyan, préfacé par l’incontournable Joe Tarrab, circulait de main en main, de notre consœur Maria Chakhtoura à la consule adjointe de France Alix de Fontaines, puis à Leila Badr, Wafa Saab, Amale Bacha, Minie Majdalani et Itaf Bahaeddine Bsat... Et ce ne sont là que des mezzés. Décembre va définitivement être très hot : les femmes en ont décidé ainsi.
Doche le magicien
Georges Doche, le peintre « benezitté », qui crée ses bijoux dans la même veine que ses tableaux, réapparaît enfin sur le devant de la scène après des années d’absence. Le 22, jour de l’Indépendance, il offre en exclusivité chez Simone Kosremelli (Dehab), à Gemmayzé, une fête en or et en couleurs, mettant en scène médailles antiques et pierres semi-précieuses auxquelles il a imprimé son style unique. Du dessin jusqu’au résultat final, il a tout fait, même tisser patiemment un foulard de fils d’or. Un bonheur l’hiver pour garder la gorge au chaud ! Jusqu’au 4 décembre...
Biomechania : la revanche du python
Plus de trois cents personnes, dont Soha Boustany, Rawan Abdel Rahim, Raëd Abillama, Bernard Khoury, Karim Chaaya, Milia Maroun etc. s’étaient figées, littéralement fascinées devant la vitrine du designer Johny Farah à Saïfi où s’est lové un python de 11 mètres de long, dont les écailles, de six tailles différentes, sont constituées de 16 000 pièces de cuivre reliées par un mécanisme de chaînes lui permettant d’onduler à satiété. Il ne manquait que le charmeur et sa flûte. Cette sacrée sculpture qui a inspiré une nouvelle collection de maroquinerie à Johny est le dernier opus de Ranya Sarakbi. Dès demain, mercredi 21, le serpent livrera sa prestation au Beirut Art Center où le show goes on avec d’autres créations originales et uniques (bijoux et objets) que cette très inspirée Mlle Sarakbi a conçus sous le thème Biomechania. Le tableau est désormais au complet...
Anne, Alex et Ghada font Face...
Génial et fabuleux. Si l’opportunité se présente, ne ratez sous aucun prétexte le flamboyant Alexandre Paulikevitch. Ses déhanchés, ses marches chaloupées, ses bras lancés gracieusement comme des serpentins de carnaval et sa généreuse crinière ont marqué d’une manière éclatante le dîner-spectacle donné au Music Hall par Lara Kanso au profit de « Faire Face ». Alex, qui ne se produit jamais à des soirées, a fait généreusement une exception, pour la belle cause de son amie Anne Frangié, fondatrice de cette association d’entraide contre le cancer. Et on ne sait plus qui était le plus largement vainqueur à l’applaudimètre, Alex ou Ghada Chbeir, la chanteuse qui a de l’or liquide sur ses cordes vocales, nominée au BBC World Music Award pour son album al-Muwashahat, et qui ce soir-là, habillée par Krikor Jabotian, a interprété devant une assemblée de 400 personnes des chansons d’Asmahan et d’Oum Kalthoum. Parmi les présents, Samir Frangié, qui n’a ni chanté ni crié ce soir-là pour cause de vilaine laryngite ; sa fille Hala, Lynn Maalouf, Mohammad et Mayada Matar, Fayez et Jamal Jabado, Andrée Daouk, Amal Makarem, May Abou Adal, Armand Pharès, Sélim et Danièle Saad, Geoges et Golda Siam (qui arborait fièrement la bague Rosa Maria de Rosy Abourous, gagnée à la loterie), Amal Traboulsi, Fabienne Abi Ramia, Zafer et Tonia Chaoui, Khaled et Amal Saab, Mounif et Najwa Beydoun, Élie Chamoun, Charles et May Eddé, Nadim et Simone Saïkali, etc.
On a-do-re, littéralement, ce genre de soirées. Et on en veut bien plus.
ditavonbliss@hotmail.com
C’est un vrai festin que Nadine Begdache a donné en l’honneur de Vivi Corm chez Nicolas Audi catering, à Rabieh, dont la terrasse a fait le bonheur des fumeuses qui ont pu griller douillettement leurs clopes en bénissant ce délicieux hajj. Zappant le déjeuner du samedi, avec leur époux ou leur famille, une cinquantaine de dames ont répondu présent. Il y avait, entre autres, les trois Mona (Hraoui, Issa el-Khoury et Iskandar), Janine Maamari (la classe incarnée, cela en devient rageant...), May Saab (qui ne sort presque jamais sans son bibi, l’accessoire chic par excellence), Rosy Boulos, Maya Corm, Salwa Hadathi, Mona et Leila Khalaf, Leila Bsat, Micheline Boulos, Nada el-Assaad, sans oublier Leila Ziadé et Sara Salem qui échangeaient leurs impressions sur le département d’art islamique du Louvre. Les conversations allaient bon train et il en ressort que le mois de décembre risque d’être hyperbusy ! Pêle-mêle : le théâtre al-Madina organise sa soirée « fund raising » animée par Assi al-Hallani le 19 décembre ; l’Institut français, qui ne lésine pas sur son espace, ouvre ses portes du 5 au 8 décembre pour faire découvrir les produits de plusieurs ONG, annonçait l’attachée culturelle près l’ambassade de France, la sémillante Carole Pratt, et c’est aux Créneaux que la « so cute » Astrid Honein a choisi de présenter ses sacs et tee-shirts « Greetings from Lebanon » les 5 et 6 décembre... avant de s’installer jusqu’au 23 à Zeitounay Bay.
Entre-temps, et comme un avant-goût de l’expo prévue le 12/12/12 au Beirut Exibition Center, le catalogue peinture dernier cru de Mrs Help Lebanon, Liliane Tyan, préfacé par l’incontournable Joe Tarrab, circulait de main en main, de notre consœur Maria Chakhtoura à la consule adjointe de France Alix de Fontaines, puis à Leila Badr, Wafa Saab, Amale Bacha, Minie Majdalani et Itaf Bahaeddine Bsat... Et ce ne sont là que des mezzés. Décembre va définitivement être très hot : les femmes en ont décidé ainsi.
Doche le magicien
Georges Doche, le peintre « benezitté », qui crée ses bijoux dans la même veine que ses tableaux, réapparaît enfin sur le devant de la scène après des années d’absence. Le 22, jour de l’Indépendance, il offre en exclusivité chez Simone Kosremelli (Dehab), à Gemmayzé, une fête en or et en couleurs, mettant en scène médailles antiques et pierres semi-précieuses auxquelles il a imprimé son style unique. Du dessin jusqu’au résultat final, il a tout fait, même tisser patiemment un foulard de fils d’or. Un bonheur l’hiver pour garder la gorge au chaud ! Jusqu’au 4 décembre...
Biomechania : la revanche du python
Plus de trois cents personnes, dont Soha Boustany, Rawan Abdel Rahim, Raëd Abillama, Bernard Khoury, Karim Chaaya, Milia Maroun etc. s’étaient figées, littéralement fascinées devant la vitrine du designer Johny Farah à Saïfi où s’est lové un python de 11 mètres de long, dont les écailles, de six tailles différentes, sont constituées de 16 000 pièces de cuivre reliées par un mécanisme de chaînes lui permettant d’onduler à satiété. Il ne manquait que le charmeur et sa flûte. Cette sacrée sculpture qui a inspiré une nouvelle collection de maroquinerie à Johny est le dernier opus de Ranya Sarakbi. Dès demain, mercredi 21, le serpent livrera sa prestation au Beirut Art Center où le show goes on avec d’autres créations originales et uniques (bijoux et objets) que cette très inspirée Mlle Sarakbi a conçus sous le thème Biomechania. Le tableau est désormais au complet...
Anne, Alex et Ghada font Face...
Génial et fabuleux. Si l’opportunité se présente, ne ratez sous aucun prétexte le flamboyant Alexandre Paulikevitch. Ses déhanchés, ses marches chaloupées, ses bras lancés gracieusement comme des serpentins de carnaval et sa généreuse crinière ont marqué d’une manière éclatante le dîner-spectacle donné au Music Hall par Lara Kanso au profit de « Faire Face ». Alex, qui ne se produit jamais à des soirées, a fait généreusement une exception, pour la belle cause de son amie Anne Frangié, fondatrice de cette association d’entraide contre le cancer. Et on ne sait plus qui était le plus largement vainqueur à l’applaudimètre, Alex ou Ghada Chbeir, la chanteuse qui a de l’or liquide sur ses cordes vocales, nominée au BBC World Music Award pour son album al-Muwashahat, et qui ce soir-là, habillée par Krikor Jabotian, a interprété devant une assemblée de 400 personnes des chansons d’Asmahan et d’Oum Kalthoum. Parmi les présents, Samir Frangié, qui n’a ni chanté ni crié ce soir-là pour cause de vilaine laryngite ; sa fille Hala, Lynn Maalouf, Mohammad et Mayada Matar, Fayez et Jamal Jabado, Andrée Daouk, Amal Makarem, May Abou Adal, Armand Pharès, Sélim et Danièle Saad, Geoges et Golda Siam (qui arborait fièrement la bague Rosa Maria de Rosy Abourous, gagnée à la loterie), Amal Traboulsi, Fabienne Abi Ramia, Zafer et Tonia Chaoui, Khaled et Amal Saab, Mounif et Najwa Beydoun, Élie Chamoun, Charles et May Eddé, Nadim et Simone Saïkali, etc.
On a-do-re, littéralement, ce genre de soirées. Et on en veut bien plus.
ditavonbliss@hotmail.com
Ce que femmes veulent... C’est un vrai festin que Nadine Begdache a donné en l’honneur de Vivi Corm chez Nicolas Audi catering, à Rabieh, dont la terrasse a fait le bonheur des fumeuses qui ont pu griller douillettement leurs clopes en bénissant ce délicieux hajj. Zappant le déjeuner du samedi, avec leur époux ou leur famille, une cinquantaine de dames ont répondu présent....
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