Samir, 40 ans, est divorcé depuis deux ans. Son mariage a été un cuisant échec. « Nous nous sommes pourtant fréquentés pendant quatre ans. Une fois franchie la porte de notre appartement, les problèmes ont surgi de partout. Si j’avais vécu avec ma femme avant le mariage, j’aurais peut-être compris que notre relation était condamnée à prendre fin rapidement. Nous n’étions pas fait pour vivre ensemble. Nous aurions pu éviter les souffrances et le déchirement d’une rupture », regrette-t-il. Aujourd’hui, Samir vit avec une autre femme, divorcée elle aussi. Tous deux affectés par leurs divorces, ils n’envisagent pas de convoler et ne jurent que par le concubinage. Dès lors, il n’est pas étonnant que certaines personnes cruellement confrontées à leur propre divorce ou à celui de leurs parents préfèrent une union libre, qui pourrait réduire le risque d’une rupture fracassante et houleuse.
Samir, 40 ans, est divorcé depuis deux ans. Son mariage a été un cuisant échec. « Nous nous sommes pourtant fréquentés pendant quatre ans. Une fois franchie la porte de notre appartement, les problèmes ont surgi de partout. Si j’avais vécu avec ma femme avant le mariage, j’aurais peut-être compris que notre relation était condamnée à prendre fin rapidement. Nous n’étions pas...