Le numéro un de la République islamique Ali Khamenei a réaffirmé hier que l’Iran ne capitulera pas sur son programme nucléaire. « Ils (Occidentaux) disent que les pressions visent à ramener l’Iran à la table des négociations, mais nous ne l’avons jamais quittée. L’objectif réel de ceux qui présentent cette formule de propagande politique est d’amener la nation iranienne à capituler lors des négociations. Mais nous leur disons : “Vous êtes trop faibles pour être capables de contraindre le peuple iranien à se mettre à genoux devant vous” », a ainsi déclaré l’ayatollah.
Pour le porte-parole de la diplomatie iranienne, les sanctions unilatérales de l’Occident « sont illégales, irrationnelles et inhumaines. La véritable raison de ces sanctions est l’indépendance de l’Iran. Même si la question nucléaire est résolue, ils vont mettre en avant d’autres questions » pour faire pression, a ainsi déclaré Ramin Mehmanparast.
L’UE s’est attaquée aux transactions financières avec une interdiction de principe de toute transaction entre les banques européennes et iraniennes, avec des exemptions accordées au cas par cas pour permettre la poursuite du commerce légitime. S’y ajoutent des sanctions renforcées contre la Banque centrale iranienne, de nouvelles restrictions sur le transport d’hydrocarbures ou l’interdiction d’importer du gaz iranien. Le ministre iranien de l’Énergie, Majid Namjoo, et 34 sociétés, actives notamment dans le secteur du pétrole et du gaz, dont la Compagnie nationale de pétrole iranienne, viennent allonger les listes noires de l’UE des gels d’avoirs et interdictions de visa.*
Signalons que la Chine a critiqué ces nouvelles sanctions, réitérant son opposition à l’imposition de sanctions unilatérales et réaffirmant que « le recours à des sanctions pour exercer des pressions ne peut fondamentalement résoudre le problème nucléaire iranien ». À l’inverse, Israël, qui se réserve le droit d’intervenir militairement pour bloquer le programme nucléaire iranien, s’est félicité de ces nouvelles mesures de restriction.
(Source : agences)
Pour le porte-parole de la diplomatie iranienne, les sanctions unilatérales de l’Occident « sont illégales, irrationnelles et inhumaines. La véritable raison de ces sanctions est l’indépendance de l’Iran. Même si la question nucléaire est résolue, ils vont mettre en avant d’autres questions » pour faire pression, a ainsi déclaré Ramin Mehmanparast.
L’UE s’est attaquée aux transactions financières avec une interdiction de principe de toute transaction entre les banques européennes et iraniennes, avec des exemptions accordées au cas par cas pour permettre la poursuite du commerce légitime. S’y ajoutent des sanctions renforcées contre la Banque centrale iranienne, de nouvelles restrictions sur le transport d’hydrocarbures ou l’interdiction d’importer du gaz iranien. Le ministre iranien de l’Énergie, Majid Namjoo, et 34 sociétés, actives notamment dans le secteur du pétrole et du gaz, dont la Compagnie nationale de pétrole iranienne, viennent allonger les listes noires de l’UE des gels d’avoirs et interdictions de visa.*
Signalons que la Chine a critiqué ces nouvelles sanctions, réitérant son opposition à l’imposition de sanctions unilatérales et réaffirmant que « le recours à des sanctions pour exercer des pressions ne peut fondamentalement résoudre le problème nucléaire iranien ». À l’inverse, Israël, qui se réserve le droit d’intervenir militairement pour bloquer le programme nucléaire iranien, s’est félicité de ces nouvelles mesures de restriction.
(Source : agences)
Le numéro un de la République islamique Ali Khamenei a réaffirmé hier que l’Iran ne capitulera pas sur son programme nucléaire. « Ils (Occidentaux) disent que les pressions visent à ramener l’Iran à la table des négociations, mais nous ne l’avons jamais quittée. L’objectif réel de ceux qui présentent cette formule de propagande politique est d’amener la nation...
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