Si l’ancien ministre espagnol a fortement insisté sur la question de la sécurité alimentaire et son implication économique, il a également répondu aux questions des journalistes notamment en ce qui concerne la politique régionale. « Le plus urgent est bien sûr d’arrêter cette guerre atroce qui déchire la Syrie, a-t-il déclaré. La communauté internationale ne doit pas rester les bras croisés, le régime de Bachar el-Assad est allé trop loin. Il faut trouver une solution politique », a-t-il poursuivi. Car selon lui, la situation peut encore se prolonger. « La réalité syrienne n’est pas la réalité libyenne, tunisienne ou encore égyptienne. Selon Moratinos, l’Europe n’ayant pas de stratégie claire sur le dossier n’a pas été à la hauteur. » Il a également insisté sur l’importance de préparer l’après-Bachar. « Il faut se pencher sur ce sujet et se demander quelle est la meilleure solution pour l’ensemble de la région et du monde. » Concernant le Liban, M. Moratinos a indiqué avoir retrouvé un « Liban prospère en dépit de ses voisins difficiles ».
Si l’ancien ministre espagnol a fortement insisté sur la question de la sécurité alimentaire et son implication économique, il a également répondu aux questions des journalistes notamment en ce qui concerne la politique régionale. « Le plus urgent est bien sûr d’arrêter cette guerre atroce qui déchire la Syrie, a-t-il déclaré. La communauté internationale ne doit pas rester les...
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