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Liban

Les restaurateurs plaident pour des cas d’exception

Interrogé par L’Orient-Le Jour, Paul Ariss, président du syndicat des propriétaires de restaurants, cafés, night-clubs et pâtisseries au Liban, affirme avant tout son intention de voir s’appliquer la loi, même s’il n’en approuve pas toutes les dispositions. « Nous avons appuyé, depuis le début, la proposition de la loi antitabac, et nous sommes totalement d’accord pour qu’elle soit appliquée dans tous les restaurants. Mais nous avons requis une loi qui ne soit ni extrême ni extrémiste. Plutôt une loi qui soit appliquée progressivement en tenant compte des spécificités libanaises. Le Parlement a voté une loi qui est une des plus dures au monde, alors que la France, la Belgique, l’Allemagne, la Grèce, Dubaï, la Jordanie, la Syrie, ont revu leurs lois et les ont assouplies. Nous demandons qu’une exception soit accordée pour les cafés libanais qui offrent le narguilé, mais aussi pour les pubs et boîtes de nuit. »
Persuadé que cette loi va léser plus de 1 000 institutions (cafés, pubs, night-clubs, discos) en influant directement sur leur chiffre d’affaires, Paul Ariss refuse de minimiser les conséquences d’une telle législation, tant au niveau de l’emploi que de la survie de ces commerces, dans un contexte économique aujourd’hui difficile.
Interrogé par L’Orient-Le Jour, Paul Ariss, président du syndicat des propriétaires de restaurants, cafés, night-clubs et pâtisseries au Liban, affirme avant tout son intention de voir s’appliquer la loi, même s’il n’en approuve pas toutes les dispositions. « Nous avons appuyé, depuis le début, la proposition de la loi antitabac, et nous sommes totalement d’accord pour...

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