Saad Hariri a rencontré Mahmoud Abbas hier à Jeddah. Photo Dalati et Nohra.
L’ancien Premier ministre Saad Hariri a condamné le « nouveau massacre sauvage » commis par le régime syrien à Treimsa, qui « établit un record dans les crimes contre l’humanité et contre, en particulier, les civils syriens non armés ».
Pour M. Hariri, ce dernier massacre doit pousser les communautés arabe et internationale à confronter « sans hésiter Bachar el-Assad et son régime assassin qui se noie jour après jour dans le sang des innocents et héroïques Syriens. Ce régime est devenu une honte et il se distingue par l’oppression et le crime que notre histoire arabe moderne n’a jamais connus », a-t-il accusé, appelant tous les organismes arabes et internationaux, notamment le Conseil de sécurité, « à prendre des mesures pratiques, radicales et rapides pour protéger le peuple syrien et imposer des peines maximales effectives au régime tyrannique et désactiver la machine à tuer sauvage utilisée contre le peuple syrien ». Et de conclure : « Ce qui nous fait le plus de peine en tant que Libanais est que ce massacre coïncide avec la décision du gouvernement libanais d’arrêter de soigner les blessés syriens qui se réfugient au Liban afin d’échapper à l’aveugle machine à tuer de Bachar el-Assad. C’est une décision à laquelle nous ne trouvons de justification ni politique ni morale, surtout que nous sommes aux portes du mois de ramadan. »
Mikati
Le chef du bloc parlementaire du Futur, Fouad Siniora, a lui aussi très vivement condamné le massacre de Treimsa. « Les mots ne servent plus à rien et il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour sauver les innocents », a-t-il affirmé.
Quant au Premier ministre, il a également condamné, dans des termes moins violents, le massacre perpétré dans le rif de Hama. « Une nouvelle fois, la violence frappe la Syrie avec davantage de victimes. Une prise de conscience est nécessaire. Le Liban condamne ces recours à la violence et appelle Dieu à ramener l’unité, la stabilité et la dignité en Syrie », a dit Nagib Mikati.
Pour M. Hariri, ce dernier massacre doit pousser les communautés arabe et internationale à confronter « sans hésiter Bachar el-Assad et son régime assassin qui se noie jour après jour dans le sang des innocents et héroïques Syriens. Ce régime est devenu une honte et il se distingue par l’oppression et le crime que notre histoire arabe moderne n’a jamais connus », a-t-il accusé, appelant tous les organismes arabes et internationaux, notamment le Conseil de sécurité, « à prendre des mesures pratiques, radicales et rapides pour protéger le peuple syrien et imposer des peines maximales effectives au régime tyrannique et désactiver la machine à tuer sauvage utilisée contre le peuple syrien ». Et de conclure : « Ce qui nous fait le plus de peine en tant que Libanais est que ce massacre coïncide avec la décision du gouvernement libanais d’arrêter de soigner les blessés syriens qui se réfugient au Liban afin d’échapper à l’aveugle machine à tuer de Bachar el-Assad. C’est une décision à laquelle nous ne trouvons de justification ni politique ni morale, surtout que nous sommes aux portes du mois de ramadan. »
Mikati
Le chef du bloc parlementaire du Futur, Fouad Siniora, a lui aussi très vivement condamné le massacre de Treimsa. « Les mots ne servent plus à rien et il est impératif que des mesures concrètes soient prises pour sauver les innocents », a-t-il affirmé.
Quant au Premier ministre, il a également condamné, dans des termes moins violents, le massacre perpétré dans le rif de Hama. « Une nouvelle fois, la violence frappe la Syrie avec davantage de victimes. Une prise de conscience est nécessaire. Le Liban condamne ces recours à la violence et appelle Dieu à ramener l’unité, la stabilité et la dignité en Syrie », a dit Nagib Mikati.
L’ancien Premier ministre Saad Hariri a condamné le « nouveau massacre sauvage » commis par le régime syrien à Treimsa, qui « établit un record dans les crimes contre l’humanité et contre, en particulier, les civils syriens non armés ».Pour M. Hariri, ce dernier massacre doit pousser les communautés arabe et internationale à confronter « sans hésiter Bachar el-Assad et son...
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