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Moyen Orient et Monde

Ghalioun prêt à laisser sa place à un autre

Bourhan Ghalioun, président du Conseil national syrien (CNS), s’est déclaré hier à Rome prêt à laisser sa place à un autre. « Je pourrais ne pas être confirmé à la présidence du CNS. À mon avis, un nouveau dirigeant pourrait être élu afin de donner la possibilité à tous de servir l’opposition », a ainsi déclaré à l’agence italienne ANSA M. Ghalioun, qui avait été reconduit dans ses fonctions le 15 février. Président du CNS depuis sa fondation en octobre 2011, Bourhan Ghalioun est un universitaire exilé en France depuis plus de 30 ans.
M. Ghalioun est accusé par ses adversaires de négliger les contacts avec les groupes d’opposition en Syrie et de ne pas avoir su unifier les diverses composantes du CNS, qui aimerait être reconnu par la communauté internationale comme le représentant légitime du peuple syrien.
Le plan de sortie de crise de l’émissaire international Kofi Annan « est à risque parce que le régime d’Assad est en train de le saboter », a également affirmé le président du CNS, ajoutant que ce plan est destiné « à mettre fin à la dictature ; si ce n’était pas le cas, il ne serait plus soutenu par le peuple syrien ».
Bourhan Ghalioun, président du Conseil national syrien (CNS), s’est déclaré hier à Rome prêt à laisser sa place à un autre. « Je pourrais ne pas être confirmé à la présidence du CNS. À mon avis, un nouveau dirigeant pourrait être élu afin de donner la possibilité à tous de servir l’opposition », a ainsi déclaré à l’agence italienne ANSA M. Ghalioun, qui...

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