La magie de Mazen Kiwan en pleine performance.
Lorsqu’ils en parlent, les mots se bousculent alors que le regard est ailleurs. Lorsqu’ils le dansent, les pas s’attendent, se suivent, se lient et se délient dans un incessant dialogue amoureux. Possédés par le tango, les aficionados, de plus en plus nombreux au Liban et dans le monde, deviennent surtout possédés par une grâce venue d’ailleurs. Le tanguero semble glisser sur le sol et s’envoler dans un autre monde.
Pour eux, et pour les 170 personnes qui viendront de 34 pays différents, et vu le succès grandissant des années précédentes, le Festival international de tango organise sa 4e édition, avec, au programme, 4 jours de tango, du 26 au 29 avril, qui comprennent des cours à l’Université américaine de Beyrouth, des bals de tango, les fameuses milongas, au Saint-Georges Yacht Motor Club, en présence de 5 couples de danseurs argentins célèbres, des ateliers divers et surtout un concert-spectacle intitulé « Tango Nocturno », qui ouvrira un festival devenu de plus en plus incontournable.
Le spectacle, un peu comme celui de l’année dernière, permettra à toutes les personnes, danseurs ou spectateurs, épris par ces gestes précis, ou plus lents, fascinés par cette conversation entre deux corps et deux âmes, d’apprécier les techniques et le talent de six des meilleurs danseurs de tango du monde. Ils s’appellent Julio Balmaceda & Cecilia Gonzalez, Horacio Godoy & Magdalena
Gutierrez, Mazen Kiwan & Yamila Ivonne. Ils vont évoluer deux à deux, sur une scène idéale, car particulière, celle du Music Hall et offrir des tangos, ainsi que des valses et des milongas, accompagnés par le sextette argentin de Fábian Bertero.
Autour du musicien et chef d’orchestre, les bandonéons, les violons, le piano et la double bass de Miguel Perreira, Nicolas Zacarias, Pocho Palmer, Maria Laura Beretro, Pablo Amado, et la voix de Alfredo Pittis vont accompagner les danseurs dans un voyage au pays de la passion et de la nostalgie poétique, l’Argentine.
* « Tango Nocturno » au Music Hall, le 25 avril 2012 à 21h00. Billets en vente dans toutes les branches du
Virgin Megastore.
Pour plus d’informations sur le festival : www.tangoliban.com
Pour eux, et pour les 170 personnes qui viendront de 34 pays différents, et vu le succès grandissant des années précédentes, le Festival international de tango organise sa 4e édition, avec, au programme, 4 jours de tango, du 26 au 29 avril, qui comprennent des cours à l’Université américaine de Beyrouth, des bals de tango, les fameuses milongas, au Saint-Georges Yacht Motor Club, en présence de 5 couples de danseurs argentins célèbres, des ateliers divers et surtout un concert-spectacle intitulé « Tango Nocturno », qui ouvrira un festival devenu de plus en plus incontournable.
Le spectacle, un peu comme celui de l’année dernière, permettra à toutes les personnes, danseurs ou spectateurs, épris par ces gestes précis, ou plus lents, fascinés par cette conversation entre deux corps et deux âmes, d’apprécier les techniques et le talent de six des meilleurs danseurs de tango du monde. Ils s’appellent Julio Balmaceda & Cecilia Gonzalez, Horacio Godoy & Magdalena
Gutierrez, Mazen Kiwan & Yamila Ivonne. Ils vont évoluer deux à deux, sur une scène idéale, car particulière, celle du Music Hall et offrir des tangos, ainsi que des valses et des milongas, accompagnés par le sextette argentin de Fábian Bertero.
Autour du musicien et chef d’orchestre, les bandonéons, les violons, le piano et la double bass de Miguel Perreira, Nicolas Zacarias, Pocho Palmer, Maria Laura Beretro, Pablo Amado, et la voix de Alfredo Pittis vont accompagner les danseurs dans un voyage au pays de la passion et de la nostalgie poétique, l’Argentine.
* « Tango Nocturno » au Music Hall, le 25 avril 2012 à 21h00. Billets en vente dans toutes les branches du
Virgin Megastore.
Pour plus d’informations sur le festival : www.tangoliban.com
Lorsqu’ils en parlent, les mots se bousculent alors que le regard est ailleurs. Lorsqu’ils le dansent, les pas s’attendent, se suivent, se lient et se délient dans un incessant dialogue amoureux. Possédés par le tango, les aficionados, de plus en plus nombreux au Liban et dans le monde, deviennent surtout possédés par une grâce venue d’ailleurs. Le tanguero semble glisser...
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