Retour aux racines, donc, dans ce « Arabian Roots », qui donne à voir des palmiers jouant à cache-cache avec la lune, un vendeur de quatre saisons, un luth triomphant, les fabuleuses maisons du Yémen, le Nil, les mosquées des émirats, les marchés de Damas, mais aussi les oiseaux, toutes sortes d’espèces volatiles vivant dans les déserts oasis d’Arabie et répertoriées par Mona Bassili Sehnaoui. Dans un hommage de l’artiste au courage et à l’endurance des ancêtres, et à la sagesse de ceux qui en perpétuent les traditions.
Culture - Échos
Les racines arabes de Mona Bassili Sehnaoui
OLJ / le 05 janvier 2012 à 23h28
Retour aux racines, donc, dans ce « Arabian Roots », qui donne à voir des palmiers jouant à cache-cache avec la lune, un vendeur de quatre saisons, un luth triomphant, les fabuleuses maisons du Yémen, le Nil, les mosquées des émirats, les marchés de Damas, mais aussi les oiseaux, toutes sortes d’espèces volatiles vivant dans les déserts oasis d’Arabie et répertoriées par Mona Bassili Sehnaoui. Dans un hommage de l’artiste au courage et à l’endurance des ancêtres, et à la sagesse de ceux qui en perpétuent les traditions.
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