Chevrolet, marque centenaire en cette année 2011, est en train de parvenir à tirer son épingle du jeu dans un climat automobile mondial relativement morose. Captiva, Cruise, Spark, etc. Chacune des récentes créations estampillées du fameux nœud papillon profite d’un rapport prix/prestations/équipements particulièrement compétitif, et répond parfaitement aux attentes d’une clientèle désireuse d’en « avoir pour son argent ».
Ajoutez à l’ensemble une gamme jeune et vous obtenez les clés d’une réussite.
Aujourd’hui, Impex, l’agent de la marque au Liban, et la firme américaine se sont penchés sur le chaînon manquant de cette nouvelle génération de véhicules, qui se glisse entre la citadine et la petite routière. Il s’agit de la Sonic, fraîchement débarquée au pays du Cèdre.
La nouvelle mouture, disponible en version hayon ou 4 portes, reprend bien évidemment les ingrédients maison pour concurrencer les Peugeot 207, Renault Clio, Kia Picanto et autres Volkswagen Polo. À commencer par le look.
Bien décidée à charmer la jeune génération, la Sonic jouit d’une personnalité affirmée avec une évidente apparence sportive : proue agressive, calandre béante divisée en deux, et des optiques rondes (similaires aux motos) entourées par deux phares aux contours acérés.
Plumage
À l’instar de sa petite sœur, la Spark, le profil dynamique est grandement dû aux poignées de portes arrière intégrées dans la vitre, histoire de singer la ligne des coupés.
La partie arrière, elle, dans ses deux versions 4 et 5 portes, apparaît plus classique à l’exception de ses feux ronds entourés d’un cache transparent.
Une fois à bord, l’ambiance générale est plutôt futuriste. Et pour cause. La Sonic joue la carte de l’originalité avec une vaste console centrale au dessin torturé et un bloc d’instrumentation qui reprend un compteur rond et une instrumentation digitale rappelant l’univers de la moto.
L’occupant découvre aussi une voiture plus accueillante qu’elle le laissait croire. Espace aux jambes à l’avant, à l’arrière, garde au toit à l’arrière : les architectes ont créé une... Chevrolet ! Et la commodité va de pair. Au centre du tableau, deux vide-poches inédits. Obliques, plongeants, au fond antidérapant. Dans ces cavités à portée du conducteur et de son voisin, voyagent sans broncher les téléphones portables, les clés de papa et USB...
L’équipement de série, lui, fait dans le pléthorique : lecteur CD MP3 avec prise USB, jantes alliage 15 pouces, climatisation, radar de recul, verrouillage centralisé, banquette arrière rabattable 1/3-2/3, etc.
Ramage
Avec une longueur de 4,397 m et une largeur de 1,735 m, la version 4 portes est à la fois plus longue et plus large que le modèle qu’elle remplace (la hatchback est longue de 4,039 m). Le volume du coffre figure également parmi les meilleurs de la catégorie avec 502 litres (253 pour la hatchback).
Reste encore à savoir si cette prise de muscle extérieure se répercute au niveau du bloc moteur et du comportement routier.
Après une prise en main rapide, le moins que l’on puisse dire est que cette Sonic n’est pas que de la poudre aux yeux. Oubliez les voitures Daewoo rebadgés Chevrolet d’un autre âge, cette Sonic possède un vrai châssis qui la rend rigide et agile à souhait.
Finies aussi les impétueuses turbulences souvent attribuées aux voitures américaines lorsque la conduite se fait plus dynamique, la Sonic supporte aisément la concurrence face aux européennes.
Rigidité du châssis, rigueur des trains roulants, empreinte au sol déterminée par 2,525 m d’empattement et 1,509 m de voies : la bonne santé du véhicule s’accommode parfaitement par la modeste cavalerie.
Justement, la Sonic est animée par un bloc 1.4 litre, développant 115 ch qui ont la lourde tâche d’animer une auto de 1 085 kg. La mission n’a rien d’aisé... mais la Sonic s’en tire avec les honneurs grâce à une bonne volonté du couple moteur (155 Nm à 4 000 trs/min). Le tout en s’avérant plutôt silencieux dans l’ensemble.
Ajoutez à l’ensemble une gamme jeune et vous obtenez les clés d’une réussite.
Aujourd’hui, Impex, l’agent de la marque au Liban, et la firme américaine se sont penchés sur le chaînon manquant de cette nouvelle génération de véhicules, qui se glisse entre la citadine et la petite routière. Il s’agit de la Sonic, fraîchement débarquée au pays du Cèdre.
La nouvelle mouture, disponible en version hayon ou 4 portes, reprend bien évidemment les ingrédients maison pour concurrencer les Peugeot 207, Renault Clio, Kia Picanto et autres Volkswagen Polo. À commencer par le look.
Bien décidée à charmer la jeune génération, la Sonic jouit d’une personnalité affirmée avec une évidente apparence sportive : proue agressive, calandre béante divisée en deux, et des optiques rondes (similaires aux motos) entourées par deux phares aux contours acérés.
Plumage
À l’instar de sa petite sœur, la Spark, le profil dynamique est grandement dû aux poignées de portes arrière intégrées dans la vitre, histoire de singer la ligne des coupés.
La partie arrière, elle, dans ses deux versions 4 et 5 portes, apparaît plus classique à l’exception de ses feux ronds entourés d’un cache transparent.
Une fois à bord, l’ambiance générale est plutôt futuriste. Et pour cause. La Sonic joue la carte de l’originalité avec une vaste console centrale au dessin torturé et un bloc d’instrumentation qui reprend un compteur rond et une instrumentation digitale rappelant l’univers de la moto.
L’occupant découvre aussi une voiture plus accueillante qu’elle le laissait croire. Espace aux jambes à l’avant, à l’arrière, garde au toit à l’arrière : les architectes ont créé une... Chevrolet ! Et la commodité va de pair. Au centre du tableau, deux vide-poches inédits. Obliques, plongeants, au fond antidérapant. Dans ces cavités à portée du conducteur et de son voisin, voyagent sans broncher les téléphones portables, les clés de papa et USB...
L’équipement de série, lui, fait dans le pléthorique : lecteur CD MP3 avec prise USB, jantes alliage 15 pouces, climatisation, radar de recul, verrouillage centralisé, banquette arrière rabattable 1/3-2/3, etc.
Ramage
Avec une longueur de 4,397 m et une largeur de 1,735 m, la version 4 portes est à la fois plus longue et plus large que le modèle qu’elle remplace (la hatchback est longue de 4,039 m). Le volume du coffre figure également parmi les meilleurs de la catégorie avec 502 litres (253 pour la hatchback).
Reste encore à savoir si cette prise de muscle extérieure se répercute au niveau du bloc moteur et du comportement routier.
Après une prise en main rapide, le moins que l’on puisse dire est que cette Sonic n’est pas que de la poudre aux yeux. Oubliez les voitures Daewoo rebadgés Chevrolet d’un autre âge, cette Sonic possède un vrai châssis qui la rend rigide et agile à souhait.
Finies aussi les impétueuses turbulences souvent attribuées aux voitures américaines lorsque la conduite se fait plus dynamique, la Sonic supporte aisément la concurrence face aux européennes.
Rigidité du châssis, rigueur des trains roulants, empreinte au sol déterminée par 2,525 m d’empattement et 1,509 m de voies : la bonne santé du véhicule s’accommode parfaitement par la modeste cavalerie.
Justement, la Sonic est animée par un bloc 1.4 litre, développant 115 ch qui ont la lourde tâche d’animer une auto de 1 085 kg. La mission n’a rien d’aisé... mais la Sonic s’en tire avec les honneurs grâce à une bonne volonté du couple moteur (155 Nm à 4 000 trs/min). Le tout en s’avérant plutôt silencieux dans l’ensemble.
Chevrolet, marque centenaire en cette année 2011, est en train de parvenir à tirer son épingle du jeu dans un climat automobile mondial relativement morose. Captiva, Cruise, Spark, etc. Chacune des récentes créations estampillées du fameux nœud papillon profite d’un rapport prix/prestations/équipements particulièrement compétitif, et répond parfaitement aux attentes d’une...