Sur la bretelle reliant Achrafieh à Hazmieh, empruntée chaque jour par des milliers de voitures, une partie de la jointure du pont a été arrachée. Qui se soucie de la sécurité et de l’entretien des routes ?Photo Michel Sayegh
On sait bien que les routes sont en piteux état au Liban. Mais on aurait espéré que les routes récentes, notamment quand il s’agit d’axes principaux, restent en bon état durant quelques années, avec les millions qu’elles coûtent au contribuable libanais. Il n’en est rien...
Au beau milieu de la bretelle qui relie Achrafieh à la route de Damas, plus particulièrement au tronçon qui va de Dar es-Sayad à Fayadieh, les voitures tombent sur une grosse ornière qu’il leur est souvent difficile d’esquiver. À bien y regarder, c’est une partie de la jointure du pont qui a été arrachée, Dieu sait par quel prodige.
Les autorités compétentes y prêtent-elles attention? Pas le moins du monde ! Le problème dure depuis plusieurs mois déjà et aucun signe d’une initiative de réparation à l’horizon.
C’est à se demander si les responsables empruntent les mêmes routes que nous. Le plus drôle, c’est que ce chemin mène entre autres... au ministère des Travaux publics (à Hazmieh). Comme gag, on pourrait difficilement faire mieux.
Au beau milieu de la bretelle qui relie Achrafieh à la route de Damas, plus particulièrement au tronçon qui va de Dar es-Sayad à Fayadieh, les voitures tombent sur une grosse ornière qu’il leur est souvent difficile d’esquiver. À bien y regarder, c’est une partie de la jointure du pont qui a été arrachée, Dieu sait par quel prodige.
Les autorités compétentes y prêtent-elles attention? Pas le moins du monde ! Le problème dure depuis plusieurs mois déjà et aucun signe d’une initiative de réparation à l’horizon.
C’est à se demander si les responsables empruntent les mêmes routes que nous. Le plus drôle, c’est que ce chemin mène entre autres... au ministère des Travaux publics (à Hazmieh). Comme gag, on pourrait difficilement faire mieux.
On sait bien que les routes sont en piteux état au Liban. Mais on aurait espéré que les routes récentes, notamment quand il s’agit d’axes principaux, restent en bon état durant quelques années, avec les millions qu’elles coûtent au contribuable libanais. Il n’en est rien...Au beau milieu de la bretelle qui relie Achrafieh à la route de Damas, plus particulièrement au tronçon qui va de Dar es-Sayad à Fayadieh, les voitures tombent sur une grosse ornière qu’il leur est souvent difficile d’esquiver. À bien y regarder, c’est une partie de la jointure du pont qui a été arrachée, Dieu sait par quel prodige.Les autorités compétentes y prêtent-elles attention? Pas le moins du monde ! Le problème dure depuis plusieurs mois déjà et aucun signe d’une initiative de réparation à l’horizon.C’est à se...
Certain distribue des encensements ridicules, à tort et à travers. Anastase Tsiris
05 h 06, le 22 septembre 2011