Entrée en précampagne avec pléthore de partis et de formations
1 600 listes candidates, 105 partis et des dizaines de formations indépendantes... Huit mois après la chute du régime Ben Ali, les Tunisiens, appelés à élire le 23 octobre une Assemblée constituante, vont devoir se déterminer dans un paysage politique extrêmement complexe. Signe de vitalité démocratique pour certains, d’absence de projet politique pour d’autres, la prolifération des partis et mouvements indépendants sur la scène tunisienne donne le tournis à moins de 45 jours du scrutin.
Par ailleurs, Rached Ghannouchi, le leader du mouvement islamiste Ennahda, considéré comme le grand favori du scrutin, a insisté sur le fait que les élections « doivent se dérouler dans un cadre démocratique et transparent ».
Enfin, signalons que les manuels scolaires ont été expurgés des passages laudateurs consacrés au président déchu Zine el-Abidine Ben Ali, a annoncé le ministère de l’Éducation, alors que près de deux millions d’élèves reprennent le chemin de l’école aujourd’hui.
1 600 listes candidates, 105 partis et des dizaines de formations indépendantes... Huit mois après la chute du régime Ben Ali, les Tunisiens, appelés à élire le 23 octobre une Assemblée constituante, vont devoir se déterminer dans un paysage politique extrêmement complexe. Signe de vitalité démocratique pour certains, d’absence de projet politique pour d’autres, la prolifération des partis et mouvements indépendants sur la scène tunisienne donne le tournis à moins de 45 jours du scrutin.
Par ailleurs, Rached Ghannouchi, le leader du mouvement islamiste Ennahda, considéré comme le grand favori du scrutin, a insisté sur le fait que les élections « doivent se dérouler dans un cadre démocratique et transparent ».
Enfin, signalons que les manuels scolaires ont été expurgés des passages laudateurs consacrés au président déchu Zine el-Abidine Ben Ali, a annoncé le ministère de l’Éducation, alors que près de deux millions d’élèves reprennent le chemin de l’école aujourd’hui.
Entrée en précampagne avec pléthore de partis et de formations1 600 listes candidates, 105 partis et des dizaines de formations indépendantes... Huit mois après la chute du régime Ben Ali, les Tunisiens, appelés à élire le 23 octobre une Assemblée constituante, vont devoir se déterminer dans un paysage politique extrêmement complexe. Signe de vitalité démocratique pour certains, d’absence de projet politique pour d’autres, la prolifération des partis et mouvements indépendants sur la scène tunisienne donne le tournis à moins de 45 jours du scrutin.Par ailleurs, Rached Ghannouchi, le leader du mouvement islamiste Ennahda, considéré comme le grand favori du scrutin, a insisté sur le fait que les élections « doivent se dérouler dans un cadre démocratique et transparent ». Enfin, signalons que les manuels...
