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Culture - Festival de Baalbeck le samedi 23 juillet

Le piano habité de féerie de Abdel Rahman el-Bacha

Une fois de plus, le temple de Bacchus a rendez-vous avec le piano habité de féerie de Abdel Rahman el-Bacha. Un pianiste haut de gamme que les pianophiles, libanais et étrangers, connaissent fort bien pour l’avoir souvent applaudi dans ses multiples prestations sur les scènes locales et beyrouthines.
Pour ce musicien qui a toujours subjugué son auditoire, un choix de première qualité pour la nuit consacrée sous le ciel de Baalbeck. Du Beethoven (la sonate Waldstein), un impromptu de Schubert, un nocturne de Chopin, les Sarcasmes de Prokofiev, l’étourdissant et ardu (techniquement) Gaspard de la nuit de Ravel et Rituel d’une ancienne danse arabe, ainsi que des variations sur une mélodie de Abdel Wahab du pianiste lui-même, qui offre au public non seulement la face de l’interprète, mais aussi du compositeur.
Un bouquet de partitions qui promettent une soirée exceptionnelle avec un pianiste exceptionnel.
Une fois de plus, le temple de Bacchus a rendez-vous avec le piano habité de féerie de Abdel Rahman el-Bacha. Un pianiste haut de gamme que les pianophiles, libanais et étrangers, connaissent fort bien pour l’avoir souvent applaudi dans ses multiples prestations sur les scènes locales et beyrouthines. Pour ce musicien qui a toujours subjugué son auditoire, un choix de première...

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