Le président de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel-Rahmane, a dénoncé lundi "la solution militaire" choisie par les autorités syriennes pour régler la crise dans le pays.
"La solution sécuritaire et militaire s'avèrera inutile en Syrie. Les choses ne seront résolues que par l'avènement d'une société démocratique", a déclaré à l'AFP M. Abdel-Rahmane joint par téléphone à Londres.
Il a déploré les arrestations et perquisitions effectuées par les forces de sécurité et l'armée dans la ville de Banias (nord-ouest).
"Les habitants de cette ville espéraient que l'armée (qui a investi la ville dimanche), allait arrêter les partisans du régime qui ont terrorisé la ville, mais l'armée au contraire a arrêté les habitants sans armes", a-t-il déploré.
Selon M. Abdel Rahmane, "des milliers d'hommes ont été conduits par les forces de sécurité et armées au stade municipal de la ville pour interrogatoire".
"Des milliers de jeunes et d'hommes moins jeunes sont rassemblés dans le stade et sont frappés, alors que plus de 400 personnes sont toujours détenus par les services de sécurité", a-t-il dénoncé.
Par ailleurs, une manifestation de femmes réclamant la libération de leurs proches se poursuivait depuis le matin dans le centre de cette ville côtière qui compte 50.000 habitants.
L'armée a investi Banias dimanche menant des perquisitions dans les maisons qui se sont poursuivies dans la nuit et lundi. L'eau, l'électricité et les communications téléphoniques sont coupées, selon le militant.
"La solution sécuritaire et militaire s'avèrera inutile en Syrie. Les choses ne seront résolues que par l'avènement d'une société démocratique", a déclaré à l'AFP M. Abdel-Rahmane joint par téléphone à Londres.
Il a déploré les arrestations et perquisitions effectuées par les forces de sécurité et l'armée dans la ville de Banias (nord-ouest).
"Les habitants de cette ville espéraient que l'armée (qui a investi la ville dimanche), allait arrêter les partisans du régime qui ont terrorisé la ville, mais l'armée au contraire a arrêté les habitants sans armes", a-t-il déploré.
Selon M. Abdel Rahmane, "des milliers d'hommes ont été conduits par les forces de sécurité et armées au stade municipal de la ville pour interrogatoire".
"Des milliers de jeunes et d'hommes moins jeunes sont rassemblés dans le stade et sont frappés, alors que plus de 400 personnes sont toujours détenus par les services de sécurité", a-t-il dénoncé.
Par ailleurs, une manifestation de femmes réclamant la libération de leurs proches se poursuivait depuis le matin dans le centre de cette ville côtière qui compte 50.000 habitants.
L'armée a investi Banias dimanche menant des perquisitions dans les maisons qui se sont poursuivies dans la nuit et lundi. L'eau, l'électricité et les communications téléphoniques sont coupées, selon le militant.
Le président de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel-Rahmane, a dénoncé lundi "la solution militaire" choisie par les autorités syriennes pour régler la crise dans le pays."La solution sécuritaire et militaire s'avèrera inutile en Syrie. Les choses ne seront résolues que par l'avènement d'une société démocratique", a déclaré à l'AFP M. Abdel-Rahmane joint...
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