Mais si Damas lâche du lest sur le plan économique, la Syrie reste inflexible sur les droits de l'homme. Hier s'est ouvert le procès de l'opposant et écrivain Ali Abdallah, accusé de « propagation d'informations fausses », devant le tribunal militaire de Damas. M. Abdallah, 61 ans, est jugé pour des déclarations faites alors qu'il était en prison, concernant les relations syro-libanaises et les fraudes électorales commises selon lui par le gouvernement iranien en 2009. Le tribunal a fixé la prochaine audience de son procès au 23 février.
Moyen Orient et Monde - Syrie
Le processus de distribution d’aides aux démunis est lancé
OLJ / le 08 février 2011 à 23h53
Mais si Damas lâche du lest sur le plan économique, la Syrie reste inflexible sur les droits de l'homme. Hier s'est ouvert le procès de l'opposant et écrivain Ali Abdallah, accusé de « propagation d'informations fausses », devant le tribunal militaire de Damas. M. Abdallah, 61 ans, est jugé pour des déclarations faites alors qu'il était en prison, concernant les relations syro-libanaises et les fraudes électorales commises selon lui par le gouvernement iranien en 2009. Le tribunal a fixé la prochaine audience de son procès au 23 février.
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