Paulo Coelho accuse l'Iran de censure
Paulo Coelho, l'écrivain brésilien le plus vendu au monde, a accusé lundi sur son blog l'Iran d'avoir interdit ses livres, un pays où il a vendu six millions d'exemplaires de ses livres.
« Mes livres sont publiés en Iran depuis 1998. Je pense que six millions d'exemplaires ont été vendus dans ce pays », a dit Coelho sur son blog (www.paulocoelhoblog.com).
« Mes livres ont été publiés sous plusieurs gouvernements iraniens », a affirmé Coelho qui a considéré l'interdiction comme « une décision arbitraire (...) qui ne peut être qu'un malentendu ».
Coelho publie sur son blog une lettre de son éditeur iranien, Arash Hejazi, lié à l'opposition, l'informant que ses livres « ont été interdits sur ordre du ministère de la Culture ». Il ne donne pas de raisons à cette censure.
L'écrivain brésilien, qui a vendu 65 millions d'exemplaires dans le monde de son livre L'alchimiste, a dit qu'il diffuserait gratuitement sur Internet ses livres pour les Iraniens et a demandé une « réaction » du gouvernement brésilien qui entretient de bonnes relations avec Téhéran.
La ministre brésilienne de la Culture Ana de Hollanda a déclaré lundi que la censure « est toujours déplorable », dans des déclarations publiées par l'Agence Brasil (officielle).
Elle a également dit qu'elle en discuterait avec le ministre des Affaires étrangères, Antonio Patriota.
Le Salon du livre
de Paris : un voyage
de la Scandinavie à Buenos Aires
Le Salon du livre de Paris qui se tiendra du 18 au 21 mars aura comme invitées d'honneur les lettres nordiques, mais célébrera aussi le polar, la littérature ultramarine, les « serial lecteurs » et la ville de Buenos Aires.
Pour cette 31e édition, le Salon a voulu pour la première fois mettre en avant cinq grandes thématiques, expliquent les organisateurs dans un communiqué.
Côté lettres nordiques, le Danemark, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède viendront à Paris faire découvrir au public une littérature foisonnante, qui rencontre un succès grandissant. Une quarantaine d'auteurs seront présents à Paris pour l'occasion.
Cette année, le roman noir sera aussi l'un des grands rendez-vous du Salon, du roman à la bande dessinée, y compris les mangas. Au menu, des débats, des projections, des expositions ainsi que de nombreuses séances de signature.
Le Salon invite également à découvrir Buenos Aires à travers l'imaginaire d'une dizaine de ses auteurs. Centre politique et culturel d'un pays plein de paradoxes, Buenos Aires, qui a nourri l'inspiration des plus grands écrivains, a été élue Capitale mondiale du livre en 2011 par l'Unesco. Un programme dont le Salon du livre de Paris sera l'une des étapes majeures, souligne le communiqué.
Le Salon du livre participe aussi en 2011 à l'année des outre-mer, avec le soutien du ministère de l'Outre-mer et du Commissariat pour 2011, en donnant une tribune aux auteurs et aux éditeurs ultramarins, acteurs majeurs du rayonnement de la culture francophone dans le monde.
Enfin, le Salon sera l'occasion de mettre l'accent sur un phénomène de plus en plus prolifique, les livres en série, qui fidélisent les « serial lecteurs », de Millenium à Twilight.
Des informations complémentaires, notamment pratiques, sont disponibles sur le site
www.salondulivreparis.com
Le CRAN réclame une rue Aimé Césaire à Paris
Le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) s'est réjoui de la décision de l'Élysée de rendre un hommage national à Aimé Césaire et de sceller une plaque au Panthéon à la mémoire de l'intellectuel et homme politique martiniquais, réclamant une rue de Paris à son nom.
« Nous saluons cette annonce et nous nous en réjouissons », s'est félicité dans un communiqué le CRAN, rappelant avoir été « à l'initiative de cette proposition » en 2008.
Pour le CRAN, l'hommage national qui doit être rendu à Aimé Césaire en avril doit être « l'occasion de redécouvrir le message du chantre de la "négritude", sans édulcorer ses combats », le poète ayant « notamment signifié son profond désaccord avec la loi du 23 février 2005 » reconnaissant le rôle positif de la présence française outre-mer.
L'association a également demandé « au maire de Paris Bertrand Delanoë de saisir l'occasion de l'hommage national (...) pour qu'une rue de la capitale porte le nom d'Aimé Césaire ».
L'Élysée a annoncé qu'un hommage national sera rendu en avril prochain au poète martiniquais, mort en avril 2008, au cours duquel une plaque portant son nom sera scellée au Panthéon.
La France célèbre depuis le 10 mai 2006 une Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions. L'esclavage a été officiellement aboli en France en 1848.
La date du 10 mai correspond à l'adoption définitive par le Sénat en 2001 de la loi Taubira reconnaissant à l'esclavage des populations d'origine africaine le caractère de crime contre l'humanité.
Paulo Coelho, l'écrivain brésilien le plus vendu au monde, a accusé lundi sur son blog l'Iran d'avoir interdit ses livres, un pays où il a vendu six millions d'exemplaires de ses livres.
« Mes livres sont publiés en Iran depuis 1998. Je pense que six millions d'exemplaires ont été vendus dans ce pays », a dit Coelho sur son blog (www.paulocoelhoblog.com).
« Mes livres ont été publiés sous plusieurs gouvernements iraniens », a affirmé Coelho qui a considéré l'interdiction comme « une décision arbitraire (...) qui ne peut être qu'un malentendu ».
Coelho publie sur son blog une lettre de son éditeur iranien, Arash Hejazi, lié à l'opposition, l'informant que ses livres « ont été interdits sur ordre du ministère de la Culture ». Il ne donne pas de raisons à cette censure.
L'écrivain brésilien, qui a vendu 65 millions d'exemplaires dans le monde de son livre L'alchimiste, a dit qu'il diffuserait gratuitement sur Internet ses livres pour les Iraniens et a demandé une « réaction » du gouvernement brésilien qui entretient de bonnes relations avec Téhéran.
La ministre brésilienne de la Culture Ana de Hollanda a déclaré lundi que la censure « est toujours déplorable », dans des déclarations publiées par l'Agence Brasil (officielle).
Elle a également dit qu'elle en discuterait avec le ministre des Affaires étrangères, Antonio Patriota.
Le Salon du livre
de Paris : un voyage
de la Scandinavie à Buenos Aires
Le Salon du livre de Paris qui se tiendra du 18 au 21 mars aura comme invitées d'honneur les lettres nordiques, mais célébrera aussi le polar, la littérature ultramarine, les « serial lecteurs » et la ville de Buenos Aires.
Pour cette 31e édition, le Salon a voulu pour la première fois mettre en avant cinq grandes thématiques, expliquent les organisateurs dans un communiqué.
Côté lettres nordiques, le Danemark, la Finlande, l'Islande, la Norvège et la Suède viendront à Paris faire découvrir au public une littérature foisonnante, qui rencontre un succès grandissant. Une quarantaine d'auteurs seront présents à Paris pour l'occasion.
Cette année, le roman noir sera aussi l'un des grands rendez-vous du Salon, du roman à la bande dessinée, y compris les mangas. Au menu, des débats, des projections, des expositions ainsi que de nombreuses séances de signature.
Le Salon invite également à découvrir Buenos Aires à travers l'imaginaire d'une dizaine de ses auteurs. Centre politique et culturel d'un pays plein de paradoxes, Buenos Aires, qui a nourri l'inspiration des plus grands écrivains, a été élue Capitale mondiale du livre en 2011 par l'Unesco. Un programme dont le Salon du livre de Paris sera l'une des étapes majeures, souligne le communiqué.
Le Salon du livre participe aussi en 2011 à l'année des outre-mer, avec le soutien du ministère de l'Outre-mer et du Commissariat pour 2011, en donnant une tribune aux auteurs et aux éditeurs ultramarins, acteurs majeurs du rayonnement de la culture francophone dans le monde.
Enfin, le Salon sera l'occasion de mettre l'accent sur un phénomène de plus en plus prolifique, les livres en série, qui fidélisent les « serial lecteurs », de Millenium à Twilight.
Des informations complémentaires, notamment pratiques, sont disponibles sur le site
www.salondulivreparis.com
Le CRAN réclame une rue Aimé Césaire à Paris
Le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) s'est réjoui de la décision de l'Élysée de rendre un hommage national à Aimé Césaire et de sceller une plaque au Panthéon à la mémoire de l'intellectuel et homme politique martiniquais, réclamant une rue de Paris à son nom.
« Nous saluons cette annonce et nous nous en réjouissons », s'est félicité dans un communiqué le CRAN, rappelant avoir été « à l'initiative de cette proposition » en 2008.
Pour le CRAN, l'hommage national qui doit être rendu à Aimé Césaire en avril doit être « l'occasion de redécouvrir le message du chantre de la "négritude", sans édulcorer ses combats », le poète ayant « notamment signifié son profond désaccord avec la loi du 23 février 2005 » reconnaissant le rôle positif de la présence française outre-mer.
L'association a également demandé « au maire de Paris Bertrand Delanoë de saisir l'occasion de l'hommage national (...) pour qu'une rue de la capitale porte le nom d'Aimé Césaire ».
L'Élysée a annoncé qu'un hommage national sera rendu en avril prochain au poète martiniquais, mort en avril 2008, au cours duquel une plaque portant son nom sera scellée au Panthéon.
La France célèbre depuis le 10 mai 2006 une Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leurs abolitions. L'esclavage a été officiellement aboli en France en 1848.
La date du 10 mai correspond à l'adoption définitive par le Sénat en 2001 de la loi Taubira reconnaissant à l'esclavage des populations d'origine africaine le caractère de crime contre l'humanité.
Paulo Coelho accuse l'Iran de censurePaulo Coelho, l'écrivain brésilien le plus vendu au monde, a accusé lundi sur son blog l'Iran d'avoir interdit ses livres, un pays où il a vendu six millions d'exemplaires de ses livres.« Mes livres sont publiés en Iran depuis 1998. Je pense que six millions d'exemplaires ont été vendus dans ce pays », a dit Coelho sur son blog...
