Rechercher
Rechercher

Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Divine Denise, eunuques en stock

Quelques jours avant le réveillon, deux cents invités en habit de fête (papillon et tarbouche rouge pour les hommes ; costume oriental traditionnel pour les dames) ont convergé vers la villa Mounia, à Yarzé, où Émile et Denise Safa avaient décidé, tsarinement, de fêter 2011 avant tout le monde. Avide d'exotisme et carrément éblouie par tout ce qui a trait à l'Orient, l'hôtesse n'a pas lésiné pour accueillir ses convives sur une mise en scène follement Mille et Une Nuits : tapis rouge déroulé dans le jardin, interieur décoré sur le modèle d'un palais stambouliote avec velours, brocart et moire, un haramlek gardé par des eunuques (on n'a pas vérifié), le personnel vêtu à l'Ottoman (on raconte qu'elle a fait le voyage à Istanbul pour se procurer les costumes), des tables illuminées de bouquets d'étoiles et de lunes (made by Dany Saleh) et des derviches tourneurs qui ont ouvert la piste de danse.... Pétant le feu, vêtue d'un somptueux caftan fait sur mesure dans les ateliers Rabih Kayrouz (lui-même arborait une sacrée abaya de brocart ancien), Denise est venue à la rencontre d'une plèbe énamourée en dansant sur un plateau porté par quatre hommes enturbannés et non eunuques cette fois-ci. Une mention particulière pour Georges Chammas et Jean-Marie Megarbané, qui trônaient l'un en sultan, l'autre en Grand vizir ; et à François Abi Saab déguisé en drogman, tarbouche rouge, moustache à la roi Farouk d'Égypte, et poitrine épinglée de médailles, qui a fait sensation près de Martine Pietton, qui accompagnait son papa, l'ambassadeur de France... Et tels Dupont-Dupond, Gaby Tamer et Joseph Chemaly arboraient une grande moustache qui, « horribilis », est devenue collante à l'heure du dîner ! Présents aussi, Farid et Elham Raphaël, Raymond et May Audi, Robert et Vivianne Debbas, Joe Achkar et Michel Charrier, Henri et Marianne Hélou, Farid et Danièle Chéhab, Sélim et Danièle Saad, Tony et Claude Amatoury... Débarquant tout droit de l'aéroport, notre ambassadeur à Madrid, Chico Abboud, et son épouse Andrea se sont retrouvés plongés dans un merveilleux Orient qu'ils ne pensaient pas retrouver aussi... chamarré !

Laurel et Hardy (se la) jouent !

La fête a continué le 31 au soir. Dîner au seul caviar d'Iran et au Dom Pérignon rosé pour
Abdo Chakhtoura (alias Arnaud de la Batelière pour ses concitoyens français) et sa dernière conquête, une belle brune dont il protège l'anonymat comme la prunelle de ses yeux et qui, dit-on, a enfin maté le tombeur au long cours : ils ont dîné en tête à tête dans l'appartement de Saifi Village de l'infatigable Don Juan désormais prisonner of love, servis par un butler en livrée et gants blancs ! Plus bling-bling on meurt, mais ça lui va, que voulez-vous...
Le même soir, à la Table d'Alfred, son comparse en casanoveries, Alain Badaro, avait décidé que douze à table vaut mieux que une tu l'auras : il était entouré d'une kyrielle de jolies dames notamment venant des pays arabes, d'Italie et du Canada... Champions du monde !
Quant à Chico Abboud, qui passait son réveillon chez Fifi et Amine Abou Khaled, il a montré sa maîtrise de la guitare et du chant... jusqu'à une heure avancée de la nuit.

Amman mon amour

Ça y est, c'est fait : l'association d'amitié libano-jordanienne est créée. Son promoteur Ali Ghandour, son président Fouad el-Khazen et quatre de ses membres, Khalil Mekkaoui, Camille Menassa, Toufic Gharghour (alias Mr Mercedes) et, unique femme parmi ces hommes, qui l'ont sacrée « the Queen », May Richani, ont entrepris le voyage à Amman pour rencontrer leurs homologues et néanmoins amis de l'association jordano-libanaise qui regroupe une centaine d'autochtones. Ils ont été reçus par le président du Sénat Taher al-Masri, le ministre du Commerce et de l'Industrie Amer al-Hadidi, et l'ancienne ministre de l'Information, Leila Charaf. D'origine libanaise (famille Najjar, de Abadieh), elle a rappelé à Menassa leur concurrence du temps où ils présentaient le journal télévisé, elle au canal 11 et lui aux 7 et 9, en lui faisant le clin d'œil de son parcours... jusqu'au ministère ! Menassa s'est consolé en dînant ensuite avec le groupe, à la table de Son Altesse Royale Talal ben Mohammad, avant de mettre le cap sur la mer Morte... où loin des rencontres officielles, tous se sont éclatés comme de joyeux lurons.

ditavonbliss@hotmail.com
Divine Denise, eunuques en stock Quelques jours avant le réveillon, deux cents invités en habit de fête (papillon et tarbouche rouge pour les hommes ; costume oriental traditionnel pour les dames) ont convergé vers la villa Mounia, à Yarzé, où Émile et Denise Safa avaient décidé, tsarinement, de fêter 2011 avant tout le monde. Avide d'exotisme et carrément éblouie par tout...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut