Mona Saudi expose à Paris
La galerie Europia, 15 avenue Ségur, 75 007 Paris, expose, du 1er au 24 décembre, les « Inspirations poétiques » de Mona Saudi. En peintures et sculptures, des hommages à St-John Perse, Mahmoud Darwish et Camille Claudel, que la critique d'art Annick Chantrel Leluc présente comme suit : « Installée au carrefour du monde, la sculptrice scrute le secret des pierres ; dans un long compagnonnage, sa main fait surgir la forme du bloc ; un monde libre s'incarne dans un geste porté ; l'amoureuse de la terre invite à contempler ; à partager le dialogue intime qu'elle entretient avec son œuvre ; à écouter le chant de la sculpture et de la poésie ; qui rejoint le rayonnement du dessin dans les vibrations d'un univers sacral. »
« Le troisième œil » de l'artiste irakien Wafaa Bilal
Un professeur assistant de l'Université de New York s'est fait greffer une caméra à l'arrière du crâne pour un projet artistique intitulé The 3rd I et qui va durer un an.
Dans une déclaration envoyée à la presse, l'artiste d'origine irakienne Wafaa Bilal, 44 ans, précise que «l'insertion de la caméra a eu lieu». «J'ai repris ma vie normale, mais je souhaite me reposer un peu avant de donner des interviews», ajoute-t-il.
Dans des photos publiées dans la presse américaine, la petite caméra semble avoir la taille d'une montre d'homme ronde.
Le projet est une des 23 installations commandées par le «Mathaf», le musée d'art contemporain qui ouvre ses portes en décembre à Doha, au Qatar, précise-t-il. L'ensemble des projets présentés pour le vernissage s'intitule «Dit/Non-dit/Redit».
Les détails de l'installation de Wafaa Bilal seront révélés au Qatar le 15 décembre, jour du lancement du site Internet du projet, www.3rdi.com.
The 3rd I, un jeu de mots entre «Le troisième moi» et «Le troisième œil», qui se prononcent de la même façon en anglais, «est une conséquence de mes travaux artistiques précédents, qui combinent différentes formes artistiques, la photo, l'art corporel, les performances, la vidéo», explique l'artiste.
«Tout cela converge dans un ensemble conceptuel. Cette nouvelle installation pose d'importantes questions sociales, esthétiques, politiques, technologiques, et j'accueille avec plaisir toutes les discussions qui ont déjà commencé à surgir», ajoute-t-il.
La galerie Europia, 15 avenue Ségur, 75 007 Paris, expose, du 1er au 24 décembre, les « Inspirations poétiques » de Mona Saudi. En peintures et sculptures, des hommages à St-John Perse, Mahmoud Darwish et Camille Claudel, que la critique d'art Annick Chantrel Leluc présente comme suit : « Installée au carrefour du monde, la sculptrice scrute le secret des pierres ; dans un long compagnonnage, sa main fait surgir la forme du bloc ; un monde libre s'incarne dans un geste porté ; l'amoureuse de la terre invite à contempler ; à partager le dialogue intime qu'elle entretient avec son œuvre ; à écouter le chant de la sculpture et de la poésie ; qui rejoint le rayonnement du dessin dans les vibrations d'un univers sacral. »
« Le troisième œil » de l'artiste irakien Wafaa Bilal
Un professeur assistant de l'Université de New York s'est fait greffer une caméra à l'arrière du crâne pour un projet artistique intitulé The 3rd I et qui va durer un an.
Dans une déclaration envoyée à la presse, l'artiste d'origine irakienne Wafaa Bilal, 44 ans, précise que «l'insertion de la caméra a eu lieu». «J'ai repris ma vie normale, mais je souhaite me reposer un peu avant de donner des interviews», ajoute-t-il.
Dans des photos publiées dans la presse américaine, la petite caméra semble avoir la taille d'une montre d'homme ronde.
Le projet est une des 23 installations commandées par le «Mathaf», le musée d'art contemporain qui ouvre ses portes en décembre à Doha, au Qatar, précise-t-il. L'ensemble des projets présentés pour le vernissage s'intitule «Dit/Non-dit/Redit».
Les détails de l'installation de Wafaa Bilal seront révélés au Qatar le 15 décembre, jour du lancement du site Internet du projet, www.3rdi.com.
The 3rd I, un jeu de mots entre «Le troisième moi» et «Le troisième œil», qui se prononcent de la même façon en anglais, «est une conséquence de mes travaux artistiques précédents, qui combinent différentes formes artistiques, la photo, l'art corporel, les performances, la vidéo», explique l'artiste.
«Tout cela converge dans un ensemble conceptuel. Cette nouvelle installation pose d'importantes questions sociales, esthétiques, politiques, technologiques, et j'accueille avec plaisir toutes les discussions qui ont déjà commencé à surgir», ajoute-t-il.
Mona Saudi expose à Paris La galerie Europia, 15 avenue Ségur, 75 007 Paris, expose, du 1er au 24 décembre, les « Inspirations poétiques » de Mona Saudi. En peintures et sculptures, des hommages à St-John Perse, Mahmoud Darwish et Camille Claudel, que la critique d'art Annick Chantrel Leluc présente comme suit :...
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