Abdel-Hafiz Abdel Rahmane, membre de l'Organisation des droits de l'Homme en Syrie (ODHS), a été reconnu coupable d'"appartenance à une société secrète" et condamné à un an de prison, par un tribunal à Alep (nord).
Il a été arrêté en mars dernier à son domicile à Alep où il s'est vu confisquer sa bibliothèque, des disques compact et son portable, selon le communiqué.
Les ONG, dont l'Observatoire syrien pour les droits de l'Homme (OSDH) et la Ligue syrienne de défense des droits de l'Homme (LSDDH), demandent "l'annulation du jugement" émis par le tribunal militaire", M. Abdel Rahmane ayant exercé "son droit à la liberté d'expression et d'opinion garantie par la constitution syrienne".
Elles demandent également aux autorités syriennes de "voter une loi moderne qui organise le travail des partis politiques et des associations civiles".
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