L'ancien député de Saïda Oussama Saad a vite réagi aux propos tenus samedi par le Premier ministre Saad Hariri, qui avait affirmé que son prédécesseur au Sérail représente « une ligne rouge ».
« Le président Hariri veut profiter du mois de ramadan pour pousser à la zizanie et à la guerre civile en tentant d'une part d'enjoliver l'image d'un tribunal international américano-sioniste et, de l'autre, en traçant des lignes rouges et en rejetant les accusations de traîtrise puis en assurant qu'il reste déterminé à connaître la vérité sur l'assassinat de son père au nom de la justice. Eh bien, la seule ligne rouge reste la défense de la résistance et de l'unité nationale », a ainsi décrété le chef de l'Organisation populaire nassérienne.
« Le président Hariri veut profiter du mois de ramadan pour pousser à la zizanie et à la guerre civile en tentant d'une part d'enjoliver l'image d'un tribunal international américano-sioniste et, de l'autre, en traçant des lignes rouges et en rejetant les accusations de traîtrise puis en assurant qu'il reste déterminé à connaître la vérité sur l'assassinat de son père au nom de la justice. Eh bien, la seule ligne rouge reste la défense de la résistance et de l'unité nationale », a ainsi décrété le chef de l'Organisation populaire nassérienne.
L'ancien député de Saïda Oussama Saad a vite réagi aux propos tenus samedi par le Premier ministre Saad Hariri, qui avait affirmé que son prédécesseur au Sérail représente « une ligne rouge ».« Le président Hariri veut profiter du mois de ramadan pour pousser à la zizanie et à la guerre civile en tentant d'une part d'enjoliver l'image d'un tribunal international américano-sioniste et, de l'autre, en traçant des lignes rouges et en rejetant les accusations de traîtrise puis en assurant qu'il reste déterminé à connaître la vérité sur l'assassinat de son père au nom de la justice. Eh bien, la seule ligne rouge reste la défense de la résistance et...