La Maison-Blanche a souligné hier que le président américain Barack Obama a décidé de « prolonger le gel des fonds et des avoirs des personnes qui menacent la sécurité du Liban ». Cette loi avait été promulguée pour la première fois aux États-Unis en 2007 et visait particulièrement la Syrie, sur fond de son trafic d'armes avec le Hezbollah.
Le président américain a souligné dans une lettre adressée au Congrès qu'il « prolonge d'un an la situation d'urgence nationale relative à ce dossier et qui devait s'achever le dimanche 1er août. Même s'il y a eu des développements positifs dans les relations libano-syriennes, le fait de continuer le trafic d'armes avec le Hezbollah, le dotant d'un armement plus moderne, mène à réduire la souveraineté du Liban et contribue à déstabiliser politiquement et économiquement la région. Ceci constitue également une menace à la sécurité nationale et à la politique étrangère des États-Unis ».
Le président américain a souligné dans une lettre adressée au Congrès qu'il « prolonge d'un an la situation d'urgence nationale relative à ce dossier et qui devait s'achever le dimanche 1er août. Même s'il y a eu des développements positifs dans les relations libano-syriennes, le fait de continuer le trafic d'armes avec le Hezbollah, le dotant d'un armement plus moderne, mène à réduire la souveraineté du Liban et contribue à déstabiliser politiquement et économiquement la région. Ceci constitue également une menace à la sécurité nationale et à la politique étrangère des États-Unis ».
La Maison-Blanche a souligné hier que le président américain Barack Obama a décidé de « prolonger le gel des fonds et des avoirs des personnes qui menacent la sécurité du Liban ». Cette loi avait été promulguée pour la première fois aux États-Unis en 2007 et visait particulièrement la...
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