Ces discussions préparatoires sont censées ouvrir la voie à des pourparlers au niveau des généraux pour évoquer l'incident naval survenu le 26 mars, l'un des plus graves depuis l'armistice de la guerre de Corée, qui a coûté la vie à 46 marins sud-coréens.
L'ONU a condamné vendredi "l'attaque" ayant causé fin mars le naufrage de la corvette sud-coréenne Cheonan mais sans l'imputer directement à la Corée du Nord, la Chine, protectrice traditionnelle de Pyongyang, s'y étant opposée.
Une enquête internationale a conclu fin mai à un tir de torpille par un sous-marin nord-coréen, mais la Corée communiste nie toute responsabilité et exige de pouvoir inspecter le site, près de la ligne de démarcation maritime intercoréenne.
Le village de Panmunjom, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Séoul, est situé dans une bande démilitarisée de 4 kilomètres de large, de part et d'autre de la ligne de démarcation intercoréenne.
Les plus commentés
Le faux pas de Samir Geagea… et de l’opposition ?
Crimes israéliens commis au Liban dès le 7 octobre : quelle suite au recours du gouvernement libanais devant la CPI ?
« Lollars », « éligibles », « illégitimes »... les vrais enjeux de la classification des dépôts