Une «Fenêtre sur Paris», acrylique sur toile de Janna Yakovleva. (Michel Sayegh)
Conviée au Liban à l'initiative du Centre culturel russe et de l'ALBA, Janna Yakovleva, peintre et membre de l'Association des artistes russes, a présenté, en moins d'une semaine, ses œuvres aux quatre coins du pays!
Une expo itinérante express entamée par un vernissage, mercredi soir, à l'ALBA, suivi d'un accrochage d'un jour sur place, puis d'un passage, hier, à l'AUST, d'un accrochage de quelques heures aujourd'hui, à partir de midi, au centre Yassine Jaber à Nabatieh et, enfin, d'une dernière étape, demain dimanche, à l'archevêché grec-catholique de Baalbeck.
Si l'intention de décentralisation des expositions présentées par le Centre culturel russe est louable, le temps imparti à chaque exhibition est franchement regrettable. D'autant plus que les peintures de cette artiste, médaille d'or aux Jeux olympiques de Chine, section art, en 2008, sont à voir.
Des acryliques sur toiles de grande dimension, le plus souvent traitées en triptyques ou en quadriptyques, reproduisant d'un pinceau néoromantique et symboliste des
paysages urbains.
Globalement des vues de façades, de ponts et de quartiers de Paris - où elle a résidé ces dernières années, travaillant à l'atelier russe de la cité des arts - élaborées dans une palette de couleurs douces et éthérées, à dominante de «gris colorés» et dans des camaïeux de gris parme, de gris ardoise ou de gris sable...Et qui dégagent une poésie et une sensibilité indéniables.
Bien qu'affranchies de l'académisme prédominant dans l'ex-URSS, les peintures de cette artiste ne sont pas non plus totalement innovantes. Le classicisme reste sous-jacent, particulièrement dans les œuvres sur papier, ponctuées de touches de couleurs à l'acrylique ou à l'aquarelle, au dessin délicat, à la touche concise et d'une belle précision.
Une expo itinérante express entamée par un vernissage, mercredi soir, à l'ALBA, suivi d'un accrochage d'un jour sur place, puis d'un passage, hier, à l'AUST, d'un accrochage de quelques heures aujourd'hui, à partir de midi, au centre Yassine Jaber à Nabatieh et, enfin, d'une dernière étape, demain dimanche, à l'archevêché grec-catholique de Baalbeck.
Si l'intention de décentralisation des expositions présentées par le Centre culturel russe est louable, le temps imparti à chaque exhibition est franchement regrettable. D'autant plus que les peintures de cette artiste, médaille d'or aux Jeux olympiques de Chine, section art, en 2008, sont à voir.
Des acryliques sur toiles de grande dimension, le plus souvent traitées en triptyques ou en quadriptyques, reproduisant d'un pinceau néoromantique et symboliste des
paysages urbains.
Globalement des vues de façades, de ponts et de quartiers de Paris - où elle a résidé ces dernières années, travaillant à l'atelier russe de la cité des arts - élaborées dans une palette de couleurs douces et éthérées, à dominante de «gris colorés» et dans des camaïeux de gris parme, de gris ardoise ou de gris sable...Et qui dégagent une poésie et une sensibilité indéniables.
Bien qu'affranchies de l'académisme prédominant dans l'ex-URSS, les peintures de cette artiste ne sont pas non plus totalement innovantes. Le classicisme reste sous-jacent, particulièrement dans les œuvres sur papier, ponctuées de touches de couleurs à l'acrylique ou à l'aquarelle, au dessin délicat, à la touche concise et d'une belle précision.
Conviée au Liban à l'initiative du Centre culturel russe et de l'ALBA, Janna Yakovleva, peintre et membre de l'Association des artistes russes, a présenté, en moins d'une semaine, ses œuvres aux quatre coins du pays! Une expo itinérante express entamée par un vernissage, mercredi soir, à l'ALBA, suivi d'un accrochage d'un jour sur place, puis...
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