Le niveau de la dette grecque suscite l'inquiétude des marchés financiers depuis plusieurs semaines. Athènes a annoncé le 3 mars de nouvelles mesures d'austérité fiscale destinées à permettre au pays de tenir son objectif de déficit budgétaire pour 2010. M. Papandréou avait déclaré ce jour-là être prêt à se tourner vers l'organisation de Washington s'il n'obtenait pas des pays européens le soutien requis. Rassuré dimanche par la France, il avait estimé lundi que la possibilité que la Grèce se tourne vers Fonds était moindre. M. Papaconstantinou a déclaré hier sur la télévision CNBC que son pays ne cherchait « pas un secours financier », mais tentait simplement de pouvoir emprunter à des taux raisonnables. Les discussions qu'il a eues au FMI ont toutes été circonscrites « au cadre de l'assistance technique que nous fournissons à la Grèce », a assuré à l'AFP une porte-parole du Fonds, Simonetta Nardin.
Économie - Dette
Le ministre grec des Finances s’explique avec le FMI
OLJ / le 10 mars 2010 à 23h42
Le niveau de la dette grecque suscite l'inquiétude des marchés financiers depuis plusieurs semaines. Athènes a annoncé le 3 mars de nouvelles mesures d'austérité fiscale destinées à permettre au pays de tenir son objectif de déficit budgétaire pour 2010. M. Papandréou avait déclaré ce jour-là être prêt à se tourner vers l'organisation de Washington s'il n'obtenait pas des pays européens le soutien requis. Rassuré dimanche par la France, il avait estimé lundi que la possibilité que la Grèce se tourne vers Fonds était moindre. M. Papaconstantinou a déclaré hier sur la télévision CNBC que son pays ne cherchait « pas un secours financier », mais tentait simplement de pouvoir emprunter à des taux raisonnables. Les discussions qu'il a eues au FMI ont toutes été circonscrites « au cadre de l'assistance technique que nous fournissons à la Grèce », a assuré à l'AFP une porte-parole du Fonds, Simonetta Nardin.
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