Un splendide duo de violon et de clavier à l'église Saint-Sauveur a réuni la fine fleur des mélomanes de Beyrouth. Devant l'iconostase illuminée, Claude Chalhoub, un des archets les plus inspirés du pays du Cèdre, et pour lui donner la réplique devant les touches d'ivoire du clavier, en droite ligne d'Espagne, José Enrique Bagaria. Au menu, tout feu tout flamme, mêlant accents romantiques, cadences ibériques et virtuosité surtout violonistique, des pages de Brahms, Albeniz, De Falla, Chalhoub et Sarasate. Admirable duel sonore entre les cordes du violon et celles du piano pour un lyrisme à la fois frémissant et flamboyant. Deux bis et le public applaudissait encore à tout rompre.
Un splendide duo de violon et de clavier à l'église Saint-Sauveur a réuni la fine fleur des mélomanes de Beyrouth. Devant l'iconostase illuminée, Claude Chalhoub, un des archets les plus inspirés du pays du Cèdre, et pour lui donner la réplique devant les touches d'ivoire du clavier, en droite ligne d'Espagne, José Enrique...
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