Le secrétariat général du 14 Mars a tenu sa réunion hebdomadaire hier à Achrafieh en présence des députés Ammar Houry et Sebouh Galbakian, des anciens députés Farès Souhaid, Samir Frangié et Moustapha Allouche, et de MM. Élias Abou Assi, Eddie Abillamaa, Hrair Hovivian, Vatcheh Nourbatlian, Nassir el-Assaad, Naoufal Daou, Michel el-Khoury et Sassine Sassine.
Dans son communiqué, rendu public par le représentant des Forces libanaises, Eddie Abillamaa, le secrétariat général a d'abord évoqué « les derniers développements locaux et régionaux, liés à la question de la formation du cabinet », mettant en exergue la nécessité « d'aboutir à cette formation dans les plus brefs délais pour la sûreté du Liban et l'organisation institutionnelle et constitutionnelle du pays ». Il a estimé que « si l'ouverture à l'égard de tous manifestée par le Premier ministre désigné est motivée par la nécessité d'assurer la formation du cabinet, le secrétariat a commencé de son côté à procéder à une évaluation de l'étape actuelle » pour commencer à préparer « l'avenir du mouvement souverainiste et ses prochaines luttes, un processus qui se poursuivra lors des prochaines réunions ».
Le secrétariat a par ailleurs condamné « la campagne visant le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, après ses dernières positions qui expriment une vision nationale et morale ». « Ses positions et celles de l'Église expriment des constantes au niveau de l'indépendance, la souveraineté et l'édification de l'État », a poursuivi le secrétariat. Et d'exprimer une « solidarité ferme » avec le patriarcat, estimant que cette autorité « représente la conscience du Liban à travers toutes les étapes historiques du pays ».
Réagissant au rapport de suivi de l'ONU sur l'application de la 1701, le secrétariat général du 14 Mars a estimé qu'il « comporte une mise en garde claire selon laquelle la Finul ne pourra pas établir un cessez-le-feu permanent au vu des violations répétées de la résolution par l'ennemi israélien et par toutes les autres parties ». Le secrétariat a donc appelé à « un respect total et une application de la résolution dans toutes ses dispositions », mettant l'accent sur les propos de Ban Ki-moon dans son rapport concernant « la nécessité d'une stratégie de défense pour le Liban qui mettrait toutes les armes sous le contrôle exclusif de l'État libanais ».
Le secrétariat général a ensuite salué « la victoire des formations estudiantines du 14 Mars dans les différentes facultés de l'USJ, qui coïncide avec la campagne médiatique menée aussi bien au Liban qu'à l'étranger contre le 14 Mars et les Forces libanaises tout particulièrement ». « La victoire estudiantine prouve que les Libanais, de génération en génération, sont attachés aux valeurs qui étaient à la base de la révolution du Cèdre », a noté le communiqué.
Prenant ensuite la parole, M. Abillamaa a critiqué les propos du chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohammad Raad, selon qui « le retard dans la formation du cabinet aurait de lourdes conséquences ». M. Abillamaa a estimé que ces propos « comportent une menace claire selon laquelle il faut soit accepter les conditions de l'opposition, soit en subir les conséquences ». « Cela montre clairement qui bloque la formation du cabinet », a-t-il ajouté.
De son côté, le secrétaire général des forces du 14 Mars, l'ancien député Farès Souhaid, a fait assumer le retard dans la formation du cabinet « à ceux qui tentent de vider la résolution 1701 de sa substance et de jouer la carte des dangers régionaux ». « Il est impossible de réclamer l'application de la 1701 et de rester attaché aux armes du Hezbollah. Il faut choisir entre les deux », a-t-il ajouté, en écho aux propos du patriarche maronite, qui avait indiqué, la semaine dernière, que les armes ne pouvaient pas coexister avec la démocratie.
Dans son communiqué, rendu public par le représentant des Forces libanaises, Eddie Abillamaa, le secrétariat général a d'abord évoqué « les derniers développements locaux et régionaux, liés à la question de la formation du cabinet », mettant en exergue la nécessité « d'aboutir à cette formation dans les plus brefs délais pour la sûreté du Liban et l'organisation institutionnelle et constitutionnelle du pays ». Il a estimé que « si l'ouverture à l'égard de tous manifestée par le Premier ministre désigné est motivée par la nécessité d'assurer la formation du cabinet, le secrétariat a commencé de son côté à procéder à une évaluation de l'étape actuelle » pour commencer à préparer « l'avenir du mouvement souverainiste et ses prochaines luttes, un processus qui se poursuivra lors des prochaines réunions ».
Le secrétariat a par ailleurs condamné « la campagne visant le patriarche maronite, Mgr Nasrallah Sfeir, après ses dernières positions qui expriment une vision nationale et morale ». « Ses positions et celles de l'Église expriment des constantes au niveau de l'indépendance, la souveraineté et l'édification de l'État », a poursuivi le secrétariat. Et d'exprimer une « solidarité ferme » avec le patriarcat, estimant que cette autorité « représente la conscience du Liban à travers toutes les étapes historiques du pays ».
Réagissant au rapport de suivi de l'ONU sur l'application de la 1701, le secrétariat général du 14 Mars a estimé qu'il « comporte une mise en garde claire selon laquelle la Finul ne pourra pas établir un cessez-le-feu permanent au vu des violations répétées de la résolution par l'ennemi israélien et par toutes les autres parties ». Le secrétariat a donc appelé à « un respect total et une application de la résolution dans toutes ses dispositions », mettant l'accent sur les propos de Ban Ki-moon dans son rapport concernant « la nécessité d'une stratégie de défense pour le Liban qui mettrait toutes les armes sous le contrôle exclusif de l'État libanais ».
Le secrétariat général a ensuite salué « la victoire des formations estudiantines du 14 Mars dans les différentes facultés de l'USJ, qui coïncide avec la campagne médiatique menée aussi bien au Liban qu'à l'étranger contre le 14 Mars et les Forces libanaises tout particulièrement ». « La victoire estudiantine prouve que les Libanais, de génération en génération, sont attachés aux valeurs qui étaient à la base de la révolution du Cèdre », a noté le communiqué.
Prenant ensuite la parole, M. Abillamaa a critiqué les propos du chef du bloc parlementaire du Hezbollah, Mohammad Raad, selon qui « le retard dans la formation du cabinet aurait de lourdes conséquences ». M. Abillamaa a estimé que ces propos « comportent une menace claire selon laquelle il faut soit accepter les conditions de l'opposition, soit en subir les conséquences ». « Cela montre clairement qui bloque la formation du cabinet », a-t-il ajouté.
De son côté, le secrétaire général des forces du 14 Mars, l'ancien député Farès Souhaid, a fait assumer le retard dans la formation du cabinet « à ceux qui tentent de vider la résolution 1701 de sa substance et de jouer la carte des dangers régionaux ». « Il est impossible de réclamer l'application de la 1701 et de rester attaché aux armes du Hezbollah. Il faut choisir entre les deux », a-t-il ajouté, en écho aux propos du patriarche maronite, qui avait indiqué, la semaine dernière, que les armes ne pouvaient pas coexister avec la démocratie.
Le secrétariat général du 14 Mars a tenu sa réunion hebdomadaire hier à Achrafieh en présence des députés Ammar Houry et Sebouh Galbakian, des anciens députés Farès Souhaid, Samir Frangié et Moustapha Allouche, et de MM. Élias Abou Assi, Eddie Abillamaa, Hrair Hovivian, Vatcheh Nourbatlian, Nassir...
commentaires (0)
Commenter