À Turin, le nul confirme les ambitions de la Fiorentina, après sa récente victoire (2-0) contre Liverpool en Ligue des champions, et la méforme de la Juventus, qui enregistre son 5e match d'affilée sans victoire, toutes compétitions confondues. « L'année dernière nous étions contents de gagner un point à Turin, alors que maintenant les garçons sont un peu déçus dans le vestiaire, parce qu'ils se rendent compte qu'ils méritaient mieux », a insisté l'entraîneur de la Fiorentina, Cesare Prandelli. La Fiorentina a affiché ses ambitions d'entrée de jeu quand Stevan Jovetic a glissé la balle à Juan Manuel Vargas, qui s'est joué de la défense turinoise pour ouvrir la marque (5). La Vieille Dame ne s'est pas laissé faire, lançant Vincenzo Iaquinta à plusieurs reprises. Mais l'attaquant manquait à chaque fois de précision, jusqu'à ce que l'un de ses tirs ratés parvienne par hasard aux pieds d'Amauri, qui n'avait plus qu'à le pousser dans le but (19). À la demi-heure de jeu, Vargas a trouvé à nouveau les filets sur un coup franc, mais le but a été refusé pour une faute peu évidente de Dario Dainelli. Après une première période intense, la seconde mi-temps s'est révélée plus terne sous la pluie turinoise, et malgré des occasions des deux côtés, le score n'a plus évolué.
Sport
L’Inter cartonne, Juve et Fiorentina se neutralisent en Italie
OLJ / le 19 octobre 2009 à 23h35
À Turin, le nul confirme les ambitions de la Fiorentina, après sa récente victoire (2-0) contre Liverpool en Ligue des champions, et la méforme de la Juventus, qui enregistre son 5e match d'affilée sans victoire, toutes compétitions confondues. « L'année dernière nous étions contents de gagner un point à Turin, alors que maintenant les garçons sont un peu déçus dans le vestiaire, parce qu'ils se rendent compte qu'ils méritaient mieux », a insisté l'entraîneur de la Fiorentina, Cesare Prandelli. La Fiorentina a affiché ses ambitions d'entrée de jeu quand Stevan Jovetic a glissé la balle à Juan Manuel Vargas, qui s'est joué de la défense turinoise pour ouvrir la marque (5). La Vieille Dame ne s'est pas laissé faire, lançant Vincenzo Iaquinta à plusieurs reprises. Mais l'attaquant manquait à chaque fois de précision, jusqu'à ce que l'un de ses tirs ratés parvienne par hasard aux pieds d'Amauri, qui n'avait plus qu'à le pousser dans le but (19). À la demi-heure de jeu, Vargas a trouvé à nouveau les filets sur un coup franc, mais le but a été refusé pour une faute peu évidente de Dario Dainelli. Après une première période intense, la seconde mi-temps s'est révélée plus terne sous la pluie turinoise, et malgré des occasions des deux côtés, le score n'a plus évolué.
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