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Lifestyle

Quelqu'un m'a dit...

Allen et Warhol pleurent : ils n'étaient pas à Chemlane...

La croisette n'a pas le monopole de l'élégance. To celebrate Ahmad's 40th birthday, la trentenaire la plus glam de Beyrouth, Cherine Tayeb a établi un dress code : 007 white jacket pour les messieurs et robe longue pour les dames... Et pas n'importe laquelle : celle que vous avez toujours voulu porter sans jamais oser le faire, précisait le carton d'invitation. Le ballet des tenues somptueuses a fait sensation. Andy Warhol, peintre des stars, en aurait raffolé. Et Woody Allen aussi, qui aurait exigé de se réincarner non plus dans les bas résilles de Kim Basinger, mais dans la robe Alexis Mabille de l'hôtesse.
Exécutant des sauts et des acrobaties, des figurants juchés sur leurs échassiers accueillaient les 200 convives dans le jardin de la vieille demeure libanaise, à Chemlane, pendant que des iguanes siliconés, plus vrais que vrais, se coulaient dans la foule, soulevant autant de frémissements que de sourires, et qu'un dragon partageait la piste avec les danseurs... Ce soir-là, chez Ahmad et Cherine, rien n'était ordinaire : petites bouteilles de champagne bu à la paille ; DJ set hallucinant de Caline Chidiac ; bouquets de fleurs champêtres arrangés par Marwan Hamza, buffet dressé au cœur de la piscine (une belle structure en métal dessinée par Pascal Tarabay et exécutée par Karim Chaaya), cuisine créative magnifiée par les grands plats en faïence blanche de Nathalie Khayat, sans oublier quatre hauts-de-forme de chocolat noir pour Ahmad et les trois copains qui fêtaient le même soir leur anniversaire... au son du célèbre Happy Birthday, Mr. President de Marilyn. Qui à l'avenir décrochera ce titre ?! Ces jeunes ont, en tout cas, la ferme détermination de réussir.

Crazy horses !

L'histoire galope pour Karim Jamil Ibrahim et Lea Koussa qui sont arrivés dans la salle de réception du BIEL entourés de la zaffé traditionnelle et de plusieurs chevaux blancs menés par des jockeys portant tee-shirt, cravache et bombe beiges... Mille chevaux d'écume, mais rien, absolument rien n'a dérapé. L'héritier de l'immobilier a un contrôle béton de tout ce qu'il fait. Et ce ne sont pas les 800 invités qui ont dit le contraire, entraînés dans un tourbillon de fête et de folie. Et plein de bonheur.

Saïda et Tyr unies pour la vie

Majdelioun, jeudi à 18h30. En présence des plus proches parents et amis, notamment les Premiers ministres désigné et sortant, Saad Hariri et Fouad Siniora, une cérémonie religieuse (al-kitab) a uni pour la vie, le fils de Moustapha et Bahia Hariri, Ahmad, à Lama Bourji (corps de sirène, origine tyrote oblige...). Deux heures plus tard, pour fêter l'évènement, la ministre offrait, dans sa villa toute décorée d'orchidées blanches, un grand dîner concocté par Hussein Hadid. Parmi les nombreux invités, Mona Hraoui, Joumana Dalloul, Yvette Sawaya, Souheil Bawji, Racha Bsat, Oumaya Laouzi, Imane et Abdellatif Chammaa, Yldiz et Sélim Diab... Les réjouissances ont repris samedi soir lors d'un autre repas d'apparat célébrant les noces... et hier, pour témoigner qu'on fait partie d'une même famille libanaise, les nouveaux mariés ont participé au mariage collectif (63 couples) dans la citadelle de Saïda. Ahmad et Lama doivent être sur les rotules ! Mais bon, en politique, il faut jouer bien et dans la continuité. Au fait, mabrouk.

Cèdre indien et poèmes norvégiens

Portant fièrement à son cou l'emblème du Liban, le bijou-cèdre de Pascal Choueiri Saad et Lara Hanna Debs, l'ambassadrice de l'Inde, Nengcha Lhouvum, qui se prépare à rejoindre son nouveau poste à Belgrade, a déjeuné, à Eddé Sands, chez Alice Eddé. Sous l'énorme pergola (déco esprit Lounge et tentures indiennes) ouverte sur la grande bleue, étaient réunis un nombre d'amis, notamment les ambassadeurs du Mexique et d'Indonésie, l'ambassadrice de Norvège dont le mari poète publie ses recueils à Oslo - il a même déclamé quelques strophes à notre consœur Anne-Marie el-Hage. Sans oublier Roberto Laurenti, ancien directeur de l'Unicef à Beyrouth (aujourd'hui responsable à l'Escwa), Andrée Daouk, le Dr Claude Rahayel et le tandem Sana Tawil-Myriam Schuman, qui sont carrément dingues de l'Inde et qui, depuis 1992, organisent des voyages au pays des maharadjas... Une réception est d'ailleurs donnée ce soir en leur honneur à la résidence de l'ambassadrice, à Ras-Beyrouth.

Mille bougies dans le désert

Les veinards ! Un groupe de Libanais, dont le Dr Rafic Méouchy, Mounir Jurdi, Charles et Lucienne Azar, May et Eddy Kharrat, et May Abou-Adal, se sont retrouvés à Siwa au festival de la musique classique organisé pour la cinquième année consécutive à l'hôtel Adrère Amellal, un joyau construit en karshif (mélange de terre, de pierre et d'eau salée), perdu au milieu du désert égyptien, sans électricité ni téléphone, mais d'un raffinement des plus exquis. Dans cet espace, le plus pur qui soit, éclairé de mille bougies, écouter Michel Dalberto et Bertrand Chamayou (piano), Paul Meyer (clarinette), Boris Garlitsky (violon) et Henri Demarquette (violoncelle) interpréter les œuvres majeures de leur répertoire, de Bach à Chostakovitch, était un rêve pour ces passionnés de musique classique.

ditavonbliss@hotmail.com
Allen et Warhol pleurent : ils n'étaient pas à Chemlane... La croisette n'a pas le monopole de l'élégance. To celebrate Ahmad's 40th birthday, la trentenaire la plus glam de Beyrouth, Cherine Tayeb a établi un dress code : 007 white jacket pour les messieurs et robe longue pour les dames... Et pas n'importe laquelle : celle que vous avez...

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