Cette fois, les conservateurs disposent de 239 sièges au Bundestag (Parlement) et les libéraux de 93 sièges. « Je souhaite pouvoir accueillir les nombreux invités avec un nouveau gouvernement », a affirmé Mme Merkel en parlant des commémorations prévues le 9 novembre pour célébrer le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin. Mais si, idéologiquement, conservateurs et libéraux sont plus à même de s'entendre, les négociations sur le programme gouvernemental s'annoncent difficiles car les libéraux réclament des baisses d'impôts alors même que la dette publique explose en raison de la crise économique et des mesures prises par le gouvernement sortant pour y faire face. Pour Guido Westerwelle, le chef du FDP, à qui devrait revenir le poste de vice-chancelier et ministre des Affaires étrangères, « il s'agit maintenant de négocier rapidement, mais de façon minutieuse, la formation du gouvernement ». L'Allemagne, a-t-il ajouté, « s'est prononcée pour des changements clairs ». Mais Mme Merkel, qui affiche depuis de longs mois sa volonté de gouverner « au centre », a affirmé vouloir gouverner « au nom de tous les Allemands ».
Moyen Orient et Monde - Allemagne
Négociations ardues pour former le prochain gouvernement
OLJ / le 30 septembre 2009 à 23h41
Cette fois, les conservateurs disposent de 239 sièges au Bundestag (Parlement) et les libéraux de 93 sièges. « Je souhaite pouvoir accueillir les nombreux invités avec un nouveau gouvernement », a affirmé Mme Merkel en parlant des commémorations prévues le 9 novembre pour célébrer le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin. Mais si, idéologiquement, conservateurs et libéraux sont plus à même de s'entendre, les négociations sur le programme gouvernemental s'annoncent difficiles car les libéraux réclament des baisses d'impôts alors même que la dette publique explose en raison de la crise économique et des mesures prises par le gouvernement sortant pour y faire face. Pour Guido Westerwelle, le chef du FDP, à qui devrait revenir le poste de vice-chancelier et ministre des Affaires étrangères, « il s'agit maintenant de négocier rapidement, mais de façon minutieuse, la formation du gouvernement ». L'Allemagne, a-t-il ajouté, « s'est prononcée pour des changements clairs ». Mais Mme Merkel, qui affiche depuis de longs mois sa volonté de gouverner « au centre », a affirmé vouloir gouverner « au nom de tous les Allemands ».
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