Avant que Pierre Sarraf, directeur du festival, et Nadim Tabet, directeur artistique, ne prennent la parole pour présenter le programme de cette édition visant à faire connaître la production libanaise, le ministre des Déplacés et membre du conseil d'administration de la Bank Audi, Raymond Audi, s'est dit ravi de parrainer pour la première fois un projet cinématographique, confirmant ainsi l'engagement de la banque à encourager toute forme de projet artistique et culturel.
Pierre Sarraf a saisi l'occasion pour expliquer la raison d'être du festival: «Il s'agit de donner la chance aux films libanais d'être diffusés et, surtout, de mettre en valeur la vitalité du cinéma au Liban qui, depuis le lancement de cette initiative en 2001, n'a cessé de progresser.» «Le public libanais, a-t-il poursuivi, n'a la possibilité de voir que des longs-métrages, or il y a des courts-métrages et des documentaires qui sont de qualité.» Et Sarraf d'ajouter: «Le festival travaille aussi sur la mémoire, c'est pourquoi la Fondation Liban-Cinéma participe cette année avec une projection des archives de Télé-Liban.»
C'était alors au tour d'Aimée Boulos, fondatrice de la société, d'expliquer le formidable travail accompli par les techniciens pour restaurer ces archives intéressantes. Shattered Memories, un documentaire relatant la mise en œuvre de ce chantier, sera projeté à la clôture. De son côté, Nadim Tabet a présenté les films sélectionnés pour cette 8e édition: 41 films sur plus de 150 reçus, dont le long-métrage de Chadi Zeneddine, Falling from Earth, projeté également à la clôture du festival.
Autre nouveauté qui marque ce rendez-vous avec les cinéphiles: une rencontre-événement avec Akram Zaatari, vidéaste et cofondateur de la Fondation arabe pour l'image, et Lars Gass, directeur du Festival international de courts-métrages d'Oberhausen (Allemagne), qui présentera des courts-métrages et des clips, autre forme de la production cinématographique.
Enfin, Sarraf a clôturé la conférence en annonçant le lancement du «Bank Audi Best Film Award », un prix de 2000 $ qui sera remis au réalisateur de la production que le jury (composé de Hania Mroué, Rima Mismar ainsi que Lars Gass et Élie Khalifé) aura couronné meilleur film, tous genres confondus.
À noter que, pour le grand public, le «pass» du festival permet l'accès à toutes les séances. Il est obtenu à l'achat du catalogue (5000 LL).
Pierre Sarraf a saisi l'occasion pour expliquer la raison d'être du festival: «Il s'agit de donner la chance aux films libanais d'être diffusés et, surtout, de mettre en valeur la vitalité du cinéma au Liban qui, depuis le lancement de cette initiative en 2001, n'a cessé de progresser.» «Le public libanais, a-t-il poursuivi, n'a la possibilité de voir que des longs-métrages, or il y a des courts-métrages et des documentaires qui sont de qualité.» Et Sarraf d'ajouter: «Le festival travaille aussi sur la mémoire, c'est pourquoi la Fondation Liban-Cinéma participe cette année avec une projection des archives de Télé-Liban.»
C'était alors au tour d'Aimée Boulos, fondatrice de la société, d'expliquer le formidable travail accompli par les techniciens pour restaurer ces archives intéressantes. Shattered Memories, un documentaire relatant la mise en œuvre de ce chantier, sera projeté à la clôture. De son côté, Nadim Tabet a présenté les films sélectionnés pour cette 8e édition: 41 films sur plus de 150 reçus, dont le long-métrage de Chadi Zeneddine, Falling from Earth, projeté également à la clôture du festival.
Autre nouveauté qui marque ce rendez-vous avec les cinéphiles: une rencontre-événement avec Akram Zaatari, vidéaste et cofondateur de la Fondation arabe pour l'image, et Lars Gass, directeur du Festival international de courts-métrages d'Oberhausen (Allemagne), qui présentera des courts-métrages et des clips, autre forme de la production cinématographique.
Enfin, Sarraf a clôturé la conférence en annonçant le lancement du «Bank Audi Best Film Award », un prix de 2000 $ qui sera remis au réalisateur de la production que le jury (composé de Hania Mroué, Rima Mismar ainsi que Lars Gass et Élie Khalifé) aura couronné meilleur film, tous genres confondus.
À noter que, pour le grand public, le «pass» du festival permet l'accès à toutes les séances. Il est obtenu à l'achat du catalogue (5000 LL).
Avant que Pierre Sarraf, directeur du festival, et Nadim Tabet, directeur artistique, ne prennent la parole pour présenter le programme de cette édition visant à faire connaître la production libanaise, le ministre des Déplacés et membre du conseil d'administration de la Bank Audi, Raymond Audi, s'est dit ravi de parrainer pour la...
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