Accueilli triomphalement en début de semaine au stade Santiago-Bernabeu, Cristiano Ronaldo risque d'avoir du mal à résister à la pression médiatique espagnole, malgré sa volonté affichée de mener une vie « tranquille » et de gagner des titres pour le Real Madrid.
« Je vais regarder la télé chez moi, tranquille, les pieds sur la table », a répondu lors de sa première conférence de presse le joueur le plus cher de l'histoire aux questions insistantes sur sa capacité à faire face aux sollicitations et aux tentations.
Cette affirmation était accueillie avec un certain scepticisme hier par les médias espagnols, étant donné la personnalité flamboyante et arrogante du Portugais, et la « folie » qui a entouré l'arrivée à Madrid de ce joueur de 24 ans, beau, riche, célèbre - et célibataire.
« Nous avons à la fois un footballeur planétaire et la une de Vogue », notait le quotidien El Mundo, rappelant que Ronaldo ne détestait pas les sorties nocturnes et avait fêté son transfert au Real à Hollywood avec Paris Hilton, cette « muse de la sottise » médiatique.
Beautés madrilènes
Dans un pays où la presse dite du « cœur » et les programmes « people » de télévision sont des institutions, le Portugais risque d'être pourchassé en permanence, tant par les caméras que les beautés madrilènes, ce qui préoccupe son club.
« Les médias non sportifs m'inquiètent », a reconnu le directeur général du Real, l'Argentin Jorge Valdano, qui a toutefois démenti avoir recommandé à Ronaldo de trouver rapidement une fiancée espagnole et de mener avec elle une vie sans complications.
Selon le quotidien sportif AS, le Real a mis en place autour du crack portugais un important dispositif de sécurité pour le protéger des « fans trop passionnés » et de la presse people, qui a mobilisé ses « meilleurs paparazzi » pour le suivre pas à pas.
Il partira ce week-end pour un stage d'une dizaine de jours en Irlande avec le Real, ce qui devrait relâcher la pression, mais seulement momentanément, autour d'un joueur sur lequel est déversée une pluie de millions.
Transféré pour un montant record de 93 millions d'euros au Real, il devrait disposer de revenus annuels nets de plus de 20 millions d'euros, entre son salaire et ses contrats publicitaires ou de parrainage.
« Profiter de la vie »
De quoi alimenter les fantasmes d'un public qui se demande quelle sera effectivement sa prochaine « fiancée » et où va habiter ce multimillionnaire. On parle d'un appartement de 1 500 m2 avec piscine au sommet d'un immeuble exclusif de Madrid.
Le contraste est saisissant avec le Brésilien Kaka, autre nouvelle star du Real, qui ne boit pas, ne sort jamais et vit sagement en famille, tout en suivant les préceptes de l'Église évangélique dont il est membre.
« Il y a un temps pour travailler et un autre pour profiter » de la vie, a souligné Ronaldo sans autres précisions, laissant ainsi entendre qu'il n'allait pas vraiment passer toutes ses soirées devant le petit écran.
Et il a reconnu qu'à Madrid il allait subir, sur et hors du terrain, une « pression » encore plus forte qu'à Manchester, où les fans et les médias ne sont pourtant pas des enfants de chœur. Un défi « galactique » qu'il se dit prêt à relever.
« Je vais regarder la télé chez moi, tranquille, les pieds sur la table », a répondu lors de sa première conférence de presse le joueur le plus cher de l'histoire aux questions insistantes sur sa capacité à faire face aux sollicitations et aux tentations.
Cette affirmation était accueillie avec un certain scepticisme hier par les médias espagnols, étant donné la personnalité flamboyante et arrogante du Portugais, et la « folie » qui a entouré l'arrivée à Madrid de ce joueur de 24 ans, beau, riche, célèbre - et célibataire.
« Nous avons à la fois un footballeur planétaire et la une de Vogue », notait le quotidien El Mundo, rappelant que Ronaldo ne détestait pas les sorties nocturnes et avait fêté son transfert au Real à Hollywood avec Paris Hilton, cette « muse de la sottise » médiatique.
Beautés madrilènes
Dans un pays où la presse dite du « cœur » et les programmes « people » de télévision sont des institutions, le Portugais risque d'être pourchassé en permanence, tant par les caméras que les beautés madrilènes, ce qui préoccupe son club.
« Les médias non sportifs m'inquiètent », a reconnu le directeur général du Real, l'Argentin Jorge Valdano, qui a toutefois démenti avoir recommandé à Ronaldo de trouver rapidement une fiancée espagnole et de mener avec elle une vie sans complications.
Selon le quotidien sportif AS, le Real a mis en place autour du crack portugais un important dispositif de sécurité pour le protéger des « fans trop passionnés » et de la presse people, qui a mobilisé ses « meilleurs paparazzi » pour le suivre pas à pas.
Il partira ce week-end pour un stage d'une dizaine de jours en Irlande avec le Real, ce qui devrait relâcher la pression, mais seulement momentanément, autour d'un joueur sur lequel est déversée une pluie de millions.
Transféré pour un montant record de 93 millions d'euros au Real, il devrait disposer de revenus annuels nets de plus de 20 millions d'euros, entre son salaire et ses contrats publicitaires ou de parrainage.
« Profiter de la vie »
De quoi alimenter les fantasmes d'un public qui se demande quelle sera effectivement sa prochaine « fiancée » et où va habiter ce multimillionnaire. On parle d'un appartement de 1 500 m2 avec piscine au sommet d'un immeuble exclusif de Madrid.
Le contraste est saisissant avec le Brésilien Kaka, autre nouvelle star du Real, qui ne boit pas, ne sort jamais et vit sagement en famille, tout en suivant les préceptes de l'Église évangélique dont il est membre.
« Il y a un temps pour travailler et un autre pour profiter » de la vie, a souligné Ronaldo sans autres précisions, laissant ainsi entendre qu'il n'allait pas vraiment passer toutes ses soirées devant le petit écran.
Et il a reconnu qu'à Madrid il allait subir, sur et hors du terrain, une « pression » encore plus forte qu'à Manchester, où les fans et les médias ne sont pourtant pas des enfants de chœur. Un défi « galactique » qu'il se dit prêt à relever.
Accueilli triomphalement en début de semaine au stade Santiago-Bernabeu, Cristiano Ronaldo risque d'avoir du mal à résister à la pression médiatique espagnole, malgré sa volonté affichée de mener une vie « tranquille » et de gagner des titres pour le Real Madrid.« Je vais regarder la...
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