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Culture - Vient de paraître

De la poésie aux nouvelles, en passant par le roman…

Le vent du Parnasse est en poupe à Beyrouth, décrétée capitale du livre. Mais aussi celui de la fiction romanesque et des contes...
En devanture des librairies, dans la foulée d'ouvrages nouveaux, un recueil de poésie, un roman et des nouvelles.
Pour aborder les rives du lyrisme poétique, en introduction aux rimes et aux strophes, une adolescente, en classe de première littéraire, impatiente de dire ce que les mots et la vie lui chuchotent !
Voilà donc, pour les lecteurs (jeunes et moins jeunes):

«Je rugis»
de Youmna Moacdieh

Un opus (éditions Mia Press, 99 pages) dédié « à tous les adorateurs de la plume et à tous ceux qui encensent la fougue artistique ».
Malgré toutes les délicieuses maladresses de la jeunesse, des poèmes enserrés dans des rimes libres et vagabondes pour une musicalité débridée et des images sonores à foison. Une inspiration tous azimuts pour un chant passionné
et fougueux.
 Pour le sésame de ce verbe au lyrisme marqué, ces quelques lignes du préfacier Lucien George sont parfaitement éclairantes : « Que faire quand on a seize ans dans ce contexte ; que, de plus, on vit dans l'indéchiffrable avenir d'un Liban écartelé ? Youmna Moacdieh a choisi d'écrire. De surcroît, des poèmes. La porte étroite. Il y a déjà une âme dans ce qu'elle dit, l'âme des poètes. »

« Le chant suspendu »
d'Elham Chamoun Abdelnour

De la poésie au roman, en passant par un métissage où les mots du Parnasse se mêlent aux détails de la fiction romanesque, voilà la voix d'Elham Chamoun Abdelnour. Une voix qui poursuit sa traversée littéraire à travers un chant modulé en courbes tendres et douces.
 Après ses recueils de poésie (Retraite des ombres, Fuite sans écho et Préludes) et ses deux romans (Asma, une jeune fille du Liban et La femme du maître (tous deux parus chez L'Harmattan), paraît aujourd'hui un troisième ouvrage de fiction, dédié à la mémoire des absents : un frère, une sœur, un neveu, une amie.
Le chant suspendu d'Elham Chamoun Abdelnour (édition Dar Malaffat, 211 pages, avec une couverture dont l'illustration est signée Gracy Batrouni Abi-Samra) est un roman dédié à Nazih, Thérèse, Dany, Leïla. De la parenté à l'amitié, l'auteur établit un véritable hommage aux moments de joies engloutis par le temps...
En exergue de l'opus, cette citation d'Andrée Chedid: «Singulier et magique l'œil de ton enfance, qui détient à sa source l'univers des regards.»
 Sous l'ombrelle des souvenirs, de l'enfance, des tendresses inoubliables, des moments de partage, de bonheur, de chaleur humaine et des espoirs de la vie se déroule ce roman alliant poésie, lyrisme et description de paysages et de
personnages.

« Le témoin »
de Jean Salmé

Les intarissables histoires d'une mère. Une mère irremplaçable et inoubliable. Traduit de l'arabe en français par le Pr Amine Zeidane, Le témoin de Jean Salmé (éditions Jean Salmé, 216 pages) est un recueil de nouvelles et de contes que l'auteur a recueillis de sa mère...
Un monde de personnages et de faits divers amusants ou tristes, pour traduire tous les échos de la vie. La vie avec sa bizarrerie, ses surprises, son flot de jours tranquilles ou mouvementés et sa leçon de sagesse, de frivolité ou de rêve...
Le vent du Parnasse est en poupe à Beyrouth, décrétée capitale du livre. Mais aussi celui de la fiction romanesque et des contes...En devanture des librairies, dans la foulée d'ouvrages nouveaux, un recueil de poésie, un roman et des nouvelles.Pour aborder les rives du lyrisme poétique, en introduction aux rimes et aux strophes, une...

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