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Santé

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Seniors : quand la somnolence tue !

Des chercheurs de l'Inserm ont établi un lien direct entre une somnolence excessive et régulière dans la journée et l'augmentation du risque de décès chez les personnes âgées vivant à domicile, indique l'agence Destination santé.
L'étude menée sur près de 9 000 volontaires pendant six ans montre que les personnes âgées qui rapportent régulièrement des épisodes de somnolence excessive durant la journée ont un risque de mortalité augmenté de 33 %. Et cela, même en tenant compte des autres facteurs de risque.
Rappelons qu'avec l'âge, les troubles du sommeil augmentent sensiblement, à cause notamment d'une baisse de la production naturelle de mélatonine, une hormone impliquée dans la régulation du sommeil.
Conséquence directe, nos aînés se jettent sur les somnifères. Or les effets indésirables de ces substances sont sérieux et largement connus : accoutumance et dépendance, fatigue, troubles cognitifs, baisse de la vigilance diurne et risque accru d'accidents, notamment les chutes.

La crise financière mondiale menace la lutte contre le sida

La crise financière mondiale pourrait anéantir des années de progrès dans la lutte contre la propagation du sida et le traitement des malades, selon Michel Kazatchkine, directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
« De toute évidence, la crise financière affecte les pays riches et je suis très inquiet à propos de leur capacité à remplir les engagements en matière d'aide au développement, a-t-il déclaré. Si les efforts ne sont pas soutenus (sur la durée), nous perdrons beaucoup des acquis réalisés ces six à huit dernières années. »
M. Kazatchkine a déclaré qu'un tarissement des contributions constituait une « menace » pour les programmes visant à ralentir la propagation du VIH et à aider des millions de personnes dans les pays en développement.

Cellules souches embryonnaires humaines : directive des USA sur la recherche

Les Instituts américains de la santé (NIH) ont dévoilé un projet de directive sur l'utilisation des cellules souches embryonnaires humaines pour la recherche publique qui excluent sans surprise les pratiques controversées, comme la création d'embryons à des seules fins scientifiques.
Les NIH proposent d'étendre le financement de la recherche publique aux seules cellules souches provenant d'embryons surnuméraires laissés par des couples dans des cliniques pratiquant la fécondation in vitro et qui seront de toute manière détruits, selon le document publié sur le site des Instituts.
De nombreux chercheurs avaient espéré que les directives des NIH permettent de financer des recherches sur des cellules souches dérivées d'embryons créés à des seules fins scientifiques.
Certaines directives utilisées dans la recherche du secteur privé permettent l'utilisation de quasiment tous les types de cellules souches embryonnaires.
Les directives des NIH excluent de financer des travaux sur des cellules souches dérivées d'embryon créés à des seules fin de recherche. Sont aussi exclues les cellules souches provenant de blastocystes de primates.
Les NIH n'autorisent pas non plus des recherches fédérales sur des cellules souches embryonnaires humaines dérivées du clonage reproductif par transfert d'un noyau somatique, ou parthénogenèse, un mode de reproduction indépendant de toute sexualité permettant le développement d'un embryon à partir d'un ovule non fécondé.
Seniors : quand la somnolence tue !Des chercheurs de l'Inserm ont établi un lien direct entre une somnolence excessive et régulière dans la journée et l'augmentation du risque de décès chez les personnes âgées vivant à domicile, indique l'agence Destination santé.L'étude menée sur près...

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