Le gouvernement indien a rejeté hier tout accord avec l'homme se présentant comme le propriétaire d'objets ayant appartenu à Gandhi, qui a proposé d'annuler leur vente aux enchères prévue dans la journée à New York et de les lui rendre sous certaines conditions. « Gandhi lui-même n'aurait pas accepté ces conditions. Le gouvernement de l'Inde ne peut pas sceller de tels accords qui touchent à des domaines spécifiques relatifs à l'allocation de ressources » du budget de l'État, a déclaré le ministre adjoint des Affaires étrangères, Anand Sharma. Dans la matinée, un Américain, James Otis, avait pourtant annoncé avoir donné son feu vert pour rendre aux autorités indiennes les célèbres lunettes rondes, la paire de sandales en cuir, la montre gousset, un plat et un bol de Gandhi, en échange de leur engagement à augmenter leurs dépenses de santé pour les pauvres et à organiser une exposition internationale de ces objets.
Le gouvernement indien a rejeté hier tout accord avec l'homme se présentant comme le propriétaire d'objets ayant appartenu à Gandhi, qui a proposé d'annuler leur vente aux enchères prévue dans la journée à New York et de les lui rendre sous certaines conditions. « Gandhi lui-même n'aurait pas accepté ces...
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