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Plus ou moins de secouristes, selon les centres

Selon la présidente du département des volontaires de la CRL, Rosy Boulos, même si le recrutement se porte bien, les centres sont plus ou moins fournis en équipes disponibles, selon les régions. Parmi les centres où il y a le plus de volontaires, on cite Tabaris, rue Spears, Jounieh, Kornet Chehwane, Zahlé, Ansarieh (Sud), Nabatiyé, Aley, Qabr Echmoun, Hasbaya, Tyr ou encore Tebnine. Parmi les centres où le nombre de volontaires, bien que suffisant, est inférieur à d’autres, figurent Hrar (Akkar), Chebaa, Marjeyoun et Rachaya. Mme Boulos rappelle que la CRL a 43 centres de par le Liban où sont actifs 2 600 secouristes. En cas de guerre ou de catastrophes, les overall orange évacuent les blessés et les populations déplacées, ils transportent des médicaments et de la nourriture aux villages isolés (en temps de paix comme en temps de guerre, les services sont tous gratuits). « Nous appelons les secouristes à la prudence et ne les obligeons jamais à se rendre à un endroit dangereux, dit-elle. On aurait cru qu’ils seraient hésitants en pareil cas. Or ils insistent à faire partie des opérations de secours. Les mesures de sécurité passent toutefois en premier. Les secouristes doivent attendre l’ordre qui provient de la chambre d’opérations (il y en a quatre au Liban) avant de bouger. »
Selon la présidente du département des volontaires de la CRL, Rosy Boulos, même si le recrutement se porte bien, les centres sont plus ou moins fournis en équipes disponibles, selon les régions. Parmi les centres où il y a le plus de volontaires, on cite Tabaris, rue Spears, Jounieh, Kornet Chehwane, Zahlé, Ansarieh (Sud), Nabatiyé, Aley, Qabr Echmoun, Hasbaya, Tyr ou encore...