Conférence et écoute musicale, mardi 28 octobre, 19h00, au Salon du livre francophone de Beyrouth

D’Autant en emporte le vent (1939) à Cinema Paradiso (1989), Fouad Sabbagh invite à revoir, en musique, une période au cours de laquelle des chefs-d’œuvre ont été créés et des stars inoubliables sont nées. Qui ne connaît pas le thème larmoyant de Love Story, la rengaine romantique d’Un homme et une femme, la musique jazzy du générique de La panthère rose ou la Chanson de Lara (Dr Jivago) ? Que serait l’entraînement de Sylvester Stallone - Rocky, la danse d’Anthony Quinn - Zorba ou encore le meurtre de Janet Leigh sous la douche de Psycho… sans musique ? Diplômé en marketing et cadre dans une agence de publicité depuis 21 ans, Fouad Sabbagh est un passionné de cinéma. Son amour pour le septième art remonte à son enfance, alors qu’il accompagnait ses parents aux cinémas à Hamra pour voir pêle-mêle les films. Par ailleurs, il assistait aux projections qu’organisait son professeur de littérature. Il obtient en 1989 et en 2003 le premier prix à l’émission al-Moumayazoun à la LBC. Actuellement et toujours en parallèle à sa carrière, il signe deux ouvrages baptisés 100 ans de cinéma italien et 100 ans de cinéma français, aux éditions Tamyras, et qui couvrent les principales cinématographies européennes, en attendant de préparer le troisième volume de la série, qui éclairera sur le cinéma britannique (Angleterre, Irlande, Écosse et pays de Galles). Tout le cinéma français et italien défile, avec également un répertoire et la notice biographique, ainsi que la filmographie exhaustive de cinéastes et personnalités qui ont fait la renommée du cinéma français dans le monde. Ces deux livres, en vente dans les principales librairies et qui figurent dans la bibliothèque de la Cinémathèque française à Paris, sont des ouvrages de référence indispensables aux cinéphiles, aux étudiants et à toute personne cherchant à approfondir sa culture et sa connaissance du 7e art. Fouad Sabbagh signera ses livres dans le cadre du Salon du livre francophone, après l’écoute des plus belles musiques de films.