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Actualités

Trois initiatives, dont une université pour la non-violence

Initié en 1983, le mouvement non violent s’est développé avec le temps pour se concrétiser en une vision globale que les fondateurs œuvrent à généraliser à l’ensemble de la région, par la fondation de trois nouvelles institutions : un projet pionnier intitulé « Bilad », regroupant une centaine de « maisons de non-violence » (Bouyout) sur l’ensemble de son territoire. Ces permanences accueillent des débats sur ce thème, sur celui de la démocratie et de la lutte contre le confessionnalisme. L’idée est de contribuer à réédifier le pays « par le bas », conformément au nom du projet. Ces « Bouyout » existent déjà dans diverses régions du pays depuis 2004. Le second projet consiste à fonder une « université arabe pour la non-violence », une première dans la région. L’institution vient couronner une longue expérience et une expertise dans le domaine de la formation professionnelle à la non-violence, aux droits humains et au non- confessionnalisme/racisme. Un curriculum académique sera inauguré à partir de 2009. Il sera couronné par un certificat officiel reconnu par une instance internationale. Le troisième projet enfin, « Chaml » regroupe, comme son nom l’indique, des jeunes de diverses régions et appartenances, socialement et politiquement engagés sur base d’une charte laïque et non violente. D’autres projets à l’image de « Chaml » sont en outre prévus dans plusieurs autres pays arabes, un processus qui a déjà été mis sur les rails.
Initié en 1983, le mouvement non violent s’est développé avec le temps pour se concrétiser en une vision globale que les fondateurs œuvrent à généraliser à l’ensemble de la région, par la fondation de trois nouvelles institutions : un projet pionnier intitulé « Bilad », regroupant une centaine de « maisons de non-violence » (Bouyout) sur l’ensemble de son...