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INFOS MÉDICALES

Frustrées, énervées, elles mangent encore plus ! Lorsqu’elles sont soumises à un stress sonore, les femmes auraient davantage tendance à grignoter une fois le silence revenu ! Ce constat inattendu résulte d’une étude américaine inédite. Il ne concerne que les femmes. Le Dr Laura Klein et son équipe, dans le New Jersey, ont soumis 29 hommes et 34 femmes de 18 à 45 ans à une expérience originale. Ils étaient en effet persuadés de participer à une étude destinée à évaluer l’influence du bruit sur les performances intellectuelles, rapporte l’agence Destination santé. Les sujets ont été répartis en trois groupes. Ceux du premier devaient résoudre des problèmes de mathématiques et de géométrie dans une ambiance de marteaux-piqueurs, diffusée par de puissants haut-parleurs. Ils avaient toutefois la possibilité de baisser le volume, mais personne ne l’a fait. Pour le deuxième groupe, le contexte était le même, à cela près que les sujets ne pouvaient pas agir sur le bruit. Pas de bouton de volume. Enfin, les membres du groupe contrôle ont travaillé dans le silence. À l’issue des exercices, chaque participant se retrouvait isolé dans une pièce durant douze minutes, avec à sa disposition un buffet garni de chips, de fromage, chocolat blanc, pop-corn, bretzels et autres friandises… L’expérience n’était pas terminée. Les participants devaient ensuite reconstituer deux puzzles dont un irréalisable. L’auteur a ainsi mesuré la frustration de chacun par rapport au comportement et au temps passé face aux puzzles. Avant de découvrir que les femmes qui avaient mangé le plus et avaient montré le plus de frustration et d’énervement face aux puzzles étaient également celles qui avaient été soumises au stress sonore. Un constat qu’ils n’ont pas relevé auprès de la gent masculine. Et pour l’heure, ils ne l’expliquent pas. Un mari, des enfants et un travail : les secrets d’une bonne santé ? Si l’on en croit une étude britannique, le cocktail activité professionnelle/maternité/vie de couple préserverait la santé des femmes. En revanche, une « carrière » au foyer augmenterait le risque de surpoids ou d’obésité. Les auteurs ont exploité les données d’une étude consacrée à la santé de milliers de femmes et d’hommes nés en 1946, indique l’agence Destination santé. Il en ressort qu’à la cinquantaine, les femmes qui ont eu des enfants, qui ont – ou ont eu – une activité professionnelle et qui vivent en couple signalent moins de problèmes de santé que les autres. C’est-à-dire les femmes au foyer, les mères célibataires ou celles qui n’ont pas eu d’enfants. Ces dernières présenteraient également un risque d’obésité plus important : 38 % contre 23 %. Fréquentes pensées suicidaires chez les étudiants américains Les étudiants ont davantage de pensées suicidaires qu’on pourrait s’y attendre, selon une étude américaine qui établit que 15 % des étudiants ont songé une fois dans leur vie à se supprimer. Selon une enquête menée en 2006 par l’Université du Texas auprès de 26 000 étudiants de 70 universités via l’Internet, quelque 5 % des étudiants affirment être passés à l’acte au moins une fois dans leur vie. L’étude a été présentée lors de la convention de l’American Psychological Association à Boston. Environ 6 % des étudiants de premier cycle et 4 % de ceux du second cycle affirment avoir sérieusement envisagé le suicide au cours des douze derniers mois. Cela signifie que sur l’effectif moyen d’une université qui est environ de 18 000 universitaires, 1 080 étudiants penseront sérieusement, au moins une fois dans l’année, à se supprimer, affirme l’étude menée par le docteur de psychologie David Drum. La majorité des étudiants décrivent cet épisode suicidaire comme « intense et bref », la moitié affirmant que cela peut durer une journée, ou moins. La majorité ne cherchent pas une aide médicale ou professionnelle et ne parlent à personne de leurs sombres pensées. Parmi ceux qui ont connu des pensées suicidaires au cours des douze mois précédant l’enquête, 14 % des étudiants de premier cycle et 8 % du second cycle ont fait une tentative de suicide, la méthode la plus utilisée étant la surdose de médicaments. Les principales raisons évoquées pour expliquer les pensées suicidaires sont : se soulager d’une douleur émotionnelle ou physique, des difficultés amoureuses, le désir d’en finir avec la vie et les problèmes scolaires.
Frustrées, énervées, elles mangent encore plus !

Lorsqu’elles sont soumises à un stress sonore, les femmes auraient davantage tendance à grignoter une fois le silence revenu ! Ce constat inattendu résulte d’une étude américaine inédite. Il ne concerne que les femmes.
Le Dr Laura Klein et son équipe, dans le New Jersey, ont soumis 29 hommes et 34 femmes de 18 à 45...