Le Tour sort des Alpes, aujourd’hui, dans la 18e étape qui conduit de Bourg-d’Oisans (Isère) à Saint-Étienne.
Le parcours de 196,5 kilomètres comporte trois ascensions de difficulté relative.
Après le passage à Grenoble, la course emprunte la côte de Parmenie (km 78), classée en troisième catégorie à cause de sa pente (5,3 km à 7 %) puis traverse le Rhône à hauteur de Chavanay (km 148).
Le final, sensiblement plus accidenté dans le massif du Pilat, traverse Pélussin, qui donna son nom à une équipe cycliste professionnelle dans les années 1980, et franchit la Croix-de-Montvieux, un col de deuxième catégorie (13,7 km à 4,7 %) placé à 33 kilomètres de l’arrivée.
La descente vers Saint-Étienne se fait par Saint-Chamond, la ville du quintuple champion du monde de F1 Alain Prost, avant la petite côte de Sorbiers qui précède de 8,5 kilomètres l’arrivée.
La ligne est installée tout près du stade Geoffroy-Guichard, le Chaudron des Verts de l’ASSE qui parvint en finale de la Coupe des Champions 1976.
La préfecture de la Loire (180 000 habitants) reçoit la Grande Boucle pour la 24e fois. Lors de la dernière arrivée en 2005, l’Américain Lance Armstrong avait remporté le contre-la-montre, à la veille de sa fin de carrière.
Départ de Bourg-d’Oisans à 12h30, arrivée à l’Alpe-d’Huez vers 17h11 (prévision à 42 km/h de moyenne).
Le Tour sort des Alpes, aujourd’hui, dans la 18e étape qui conduit de Bourg-d’Oisans (Isère) à Saint-Étienne.
Le parcours de 196,5 kilomètres comporte trois ascensions de difficulté relative.
Après le passage à Grenoble, la course emprunte la côte de Parmenie (km 78), classée en troisième catégorie à cause de sa pente (5,3 km à 7 %) puis traverse le Rhône à...
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