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101 DALMATIANS Disney Quel bonheur de voir un Disney revivre en DVD. Je vous épargnerai le topo sur le fait qu’au Liban on n’a plus de version française, on va juste se contenter du plaisir de revoir les 101 dalmatiens. Pas le film avec Glenn Close, exceptionnelle en Cruella Devile, mais la version animée d’il y a 40 ans. Pongo, le dalmatien, et Roger, l’être humain, vivent ensemble. Tous les deux sont célibataires, sauf que Pongo s’ennuie seul. Celle dont il voudrait faire sa compagne s’appelle Perdita. Le hasard faisant souvent bien les choses, sa maîtresse, Anita, est également célibataire. Coup de foudre et mariage s’ensuivent. Tout le monde est content. Mais c’était sans compter l’arrivée de Cruella, une amie d’Anita qui raffole des manteaux en peau de dalmatien. Elle attend impatiemment la première portée de Perdita pour satisfaire son envie… Mais Anita n’est pas prête de céder. Cruella décide alors d’enlever les chiots… De l’action et du suspense qui font de ce Disney un des grands classiques de la maison… ATONEMENT Joe Wright Si vous avez aimé Pride and Prejudice, vous allez probablement aimer Atonement, du même réalisateur, Joe Wright. C’est qu’il aime la littérature anglaise monsieur Wright et il en continue l’exploration. S’il change d’époque, Wright a décidé de changer de style également. Exploits techniques, plans serrés, le réalisateur en fait beaucoup. Beaucoup trop. Le cliquetis de la machine à écrire, quasi permanent, en devient presque soûlant. Mais, mis à part ces quelques petits détails dérangeants, Atonement est un beau film à regarder tranquillement. L’histoire est belle et les acteurs campent leurs rôles à merveille. Nous sommes en 1935, en Angleterre. Les Tallis vivent tous ensemble dans la grande demeure familiale. Cecilia (sublime Keira Khightley) vit une histoire passionnée avec Robbie Turner, l’intendant. Mais Briony, sa petite sœur à l’imagination débordante, accuse ce dernier d’un crime qu’il n’a pas commis. Cette accusation va bouleverser le cours de leur vie à tous. L’INVITÉ Laurent Bouhnik Vous avez peut-être cette étrange impression de ne pas avoir beaucoup entendu parler de ce film intitulé L’invité. Pourtant, avec des têtes d’affiche aussi calibrées que Daniel Auteuil, Thierry Lhermitte, Hippolyte Girardot et Valérie Lemercier, on s’attendait à les voir camper les plateaux télé de l’Hexagone, comme ont l’habitude de le faire les comédiens français. C’est que ce film, tiré d’une pièce de boulevard à succès, à l’instar du Dîner de cons et de La cage aux folles, n’est pas aussi réussi que ses prédécesseurs. C’est donc le film parfait pour être vu en DVD. Dommage, parce qu’on aurait pu bien rigoler face à cette situation invraisemblable de cet homme qui fait tout pour séduire son nouvel employeur et qui, pour cela, fait appel à son voisin qui se trouve une vocation de coach. Les acteurs en font un peu trop, mais ce n’est pas bien grave, ce n’est qu’un DVD.