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Actualités - CHRONOLOGIE

BEAU TEMPS Kenzo à l’heure des montres Page réalisée par FIFI ABOU DIB

Elles s’appellent Padogon, Iroka, Hana, Kinoto, Oki ou Youri et se frayent un chemin dans la sphère de la maison. Ce sont les montres Kenzo. Nouvelles venues, elles ne sont pas moins de trente-huit à s’ajouter aux huit autres licences de la marque. Après le linge de lit en 1991 avec Delorme, le tissu d’ameublement en 1996 avec Lelièvre, les bijoux argent en 2001 avec GL Bijoux, les lunettes et la lingerie en 2003 avec respectivement l’Amy et la SIL, l’enfant depuis l’année dernière avec Zannier et, tout récemment, le mobilier avec le Club House Italia, ce sont ces petits bijoux à l’esprit aussi poétique que celui de l’offre déjà existante qui débarquent au sein des boutiques Kenzo et chez les bijoutiers. Vendues à des prix allant de 250 à 350 euros, ces dernières vont jusqu’à 549 euros quand elles s’accompagnent de leur coffret, tandis que l’une d’entre elles se place d’entrée sous les feux de la rampe. Déjà présentée comme la favorite, elle se pare de diamants et arbore un prix de 1 999 euros. Ses petites sœurs, en acier, habillent le poignet avec leur bracelet de cuir doublé de satin. Tantôt au cadran rond, tantôt au cadran carré, toutes prônent une étanchéité à cinquante mètres de profondeur. Comme les bijoux lancés il y a sept ans maintenant, elles sont élaborées main dans la main par la marque de luxe et le licencié GL Bijoux. Julie MANGAUG
Elles s’appellent Padogon, Iroka, Hana, Kinoto, Oki ou Youri et se frayent un chemin dans la sphère de la maison. Ce sont les montres Kenzo. Nouvelles venues, elles ne sont pas moins de trente-huit à s’ajouter aux huit autres licences de la marque.
Après le linge de lit en 1991 avec Delorme, le tissu d’ameublement en 1996 avec Lelièvre, les bijoux argent en 2001 avec GL...