INSOLITE

Un perroquet qui bat les humains à résoudre un casse-tête Un perroquet d’un jardin botanique de la banlieue de Tokyo résout en moins de 30 secondes un « casse-tête » à base de chaînes emmêlées. Invaincu à ce jour, cet ara femelle appelé « Ten » bat systématiquement la douzaine d’humains qui l’affrontent quotidiennement et à qui il faut près d’une heure pour arriver à séparer les deux chaînes emmêlées. « Je n’y arrive pas ! C’est impossible ! » s’exclame le jeune Yuto Uotani, 8 ans, après que Ten eut trouvé la solution en quelques secondes, à l’aide de son bec et de ses pattes. « Je n’arrive pas à croire que j’aie perdu ! C’est frustrant ! » s’indigne Yuka Ishida, 23 ans, après avoir été battu deux fois à plates coutures par le volatile. La première fois que les chaînes emmêlées ont été présentées à Ten, le perroquet s’est amusé avec et a fini par trouver la solution en quelques jours. D’autres perroquets ont échoué à battre le record de Ten et la plupart s’en désintéressent complètement. « Ten s’amuse à trouver la solution, tandis que les autres perroquets doivent d’abord apprendre à démêler (les chaînes) », explique leur gardien Daichi Yamanaka. Une Bulgare obligée à nager avec des piranhas dans un cirque Trois Italiens gérants d’un cirque ont été arrêtés près de Salerne (Sud) pour avoir réduit en esclavage une famille bulgare, dont la fille aînée était obligée de se baigner avec des piranhas dans une eau glacée, a rapporté hier La Stampa. Dans ce « cirque de l’horreur », l’un des trois Italiens maintenait par la force la jeune fille de 19 ans dans l’eau glacée d’une vasque transparente alors qu’elle mourait de peur, selon la même source. La plus jeune fille du couple, âgée de 16 ans, était elle contrainte de se mettre dans un tonneau alors que des serpents, des insectes et une tarentule étaient jetés sur elle. Les faits ont été dénoncés aux carabiniers d’Eboli (sud de Salerne) par un spectateur du cirque Marino. La famille de clandestins, dont les membres travaillaient 15 à 20 heures par jour, était payée 100 euros par semaine et vivait dans deux carcasses de camions, selon l’agence ANSA.