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Actualités - CHRONOLOGIE

SIGNATURE - Bachir Bejjani, Jihad Chahine et Raja Loutfi dans les locaux d’Arcenciel aujourd’hui à partir de 16 heures Témoignages de vie

Les trois ouvrages que signent Bachir Bejjani, Jihad Chahine et Raja Loutfi, trois jeunes romanciers en herbe, dans les locaux d’Arcenciel, ce soir à partir de 16 heures, traduisent leur volonté de dépasser leur handicap moteur et de transcender par la plume leurs douleurs et leur quotidien pénible. Depuis qu’il a perdu l’usage de ses jambes, Bachir Bejjani a compris qu’il fallait lutter contre l’adversité avec la force intérieure et l’espérance nourrie par la foi. Dans L’espoir me porte, l’adolescent a décidé de parler de cette inexorable maladie qui le ronge. Avec réalisme et humour et tout en pudeur, son livre narre les étapes difficiles traversées et l’amour. Un témoignage d’amour et de foi qui ne verse à aucun instant dans la mièvre sensiblerie. L’ouvrage est édité dans deux versions, française et arabe. Raja Loutfi a vingt-cinq ans et son recueil de poèmes en langue française, L’Étoile, a été inspiré par la douleur et la joie et une certaine révolte sous-jacente. Dans sa préface, le jeune Loutfi précise que ces poèmes sont adressés à tous ceux qui, comme les étoiles, éclairent la vie des personnes en difficulté et « ceux qui, comme moi, ont eu la bénédiction de suivre ces étoiles afin d’apprendre à mieux donner et recevoir ». Quant à l’ouvrage en langue arabe que signe Jihad Chahine, intitulé La fin d’une histoire qui n’a pas encore commencé, c’est une suite de petits récits qui illustrent avec mélancolie des fragments de vie recueillis au fil des jours. Par sa plume, le jeune romancier parvient à faire face à la réalité et à rendre son quotidien moins douloureux et plus supportable.
Les trois ouvrages que signent Bachir Bejjani, Jihad Chahine et Raja Loutfi, trois jeunes romanciers en herbe, dans les locaux d’Arcenciel, ce soir à partir de 16 heures, traduisent leur volonté de dépasser leur handicap moteur et de transcender par la plume leurs douleurs et leur quotidien pénible.
Depuis qu’il a perdu l’usage de ses jambes, Bachir Bejjani a compris...