Financés par le British Museum, la British Academy et la Fondation Hariri, les travaux...
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L’apport du secteur privé
le 18 mars 2008 à 00h00
Les fouilles ont eu lieu sur 15 000 m2 de terrains expropriés avant la guerre du Liban par l’émir Maurice Chéhab, alors directeur de la DGA. D’après la carte établie par Ernest Renan, le périmètre est situé dans le fossé médiéval de la ville de Sidon et à faible distance de la mer.
Financés par le British Museum, la British Academy et la Fondation Hariri, les travaux d’excavation, fait rare, ont aussi intéressé le secteur privé libanais : Byblos Bank, Nokia Liban, Michael Farès et Namir Younès.
Parallèlement aux images prises « sur le vif » et « au fil des découvertes », le film est ponctué de photographies anciennes de Saïda empruntées aux collectionneurs Gaby Daher et Badri el- Hage.
Les fouilles ont eu lieu sur 15 000 m2 de terrains expropriés avant la guerre du Liban par l’émir Maurice Chéhab, alors directeur de la DGA. D’après la carte établie par Ernest Renan, le périmètre est situé dans le fossé médiéval de la ville de Sidon et à faible distance de la mer.
Financés par le British Museum, la British Academy et la Fondation Hariri, les travaux...
Financés par le British Museum, la British Academy et la Fondation Hariri, les travaux...
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