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Actualités - CHRONOLOGIE

INFOS MÉDICALES

Près d’un jeune Français sur deux ne dormirait pas assez En France, 45 % des 25-45 ans considèrent ne pas assez dormir. Voilà notamment ce qui ressort de l’enquête menée par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en France. L’initiative de l’Inpes s’inscrit dans le cadre du Programme d’actions sur le sommeil initié par le ministère de la Santé en janvier 2007. Son objectif est « d’identifier les leviers et les freins du sommeil » chez les 25-45 ans. Lesquels constituent pour l’Inpes « une cible susceptible d’accumuler une dette de sommeil ». Les résultats sont mitigés. Si 45 % des personnes interrogées affirment ne pas assez dormir, seuls 12 % déclarent souffrir sérieusement d’insomnie et 17 % accumuler une dette chronique de sommeil. Les principales raisons de ce « désamour » avec Morphée sont le travail, le stress, l’anxiété et… les enfants. Un autre enseignement intéressant concerne le manque de connaissances quant aux conséquences d’un mauvais sommeil : moins du tiers des personnes interrogées savent qu’il peut favoriser la prise de poids. Et moins de la moitié qu’il peut entraîner une hypertension artérielle. En revanche, les trois quarts ont identifié la dépression et les problèmes de mémoire comme des conséquences possibles d’un manque régulier de sommeil. Sur le plan des « pratiques », 74 % ont l’habitude de regarder la télévision avant de s’endormir. Parmi eux, 24 % la regardent au lit. Un comportement déconseillé par l’Inpes. Enfin, près d’un insomniaque sur deux et une personne en dette de sommeil sur deux surfent sur Internet ou jouent à des jeux vidéos. Une habitude tout aussi déconseillée par l’Inpes. Pollution intérieure : méconnue et dangereuse Calfeutrés à l’intérieur de nos habitations ou locaux professionnels, nous pensons à tort être protégés de la pollution. Or « les concentrations de polluants dans l’air sont plus élevées à l’intérieur qu’à l’extérieur » des immeubles. Produits d’entretien et d’hygiène, cosmétiques, ordinateurs, encens, meubles… Une multitude de produits et d’objets quotidiens y sont accusés de polluer notre nid douillet. Et donc de nuire à notre santé. C’est ce que les spécialistes appellent le « sick building syndrome ». Autrement dit, les bâtiments qui rendent malade. Or, pour beaucoup, « la pollution intérieure est une découverte, car pollution rime plutôt avec extérieur ». Difficile en effet de réaliser qu’un produit agréablement parfumé ou de l’encens puissent être sources d’émissions toxiques. C’est pourtant la réalité. « L’isolation empêche les particules extérieures de s’infiltrer, mais limite la ventilation de l’intérieur. » Voilà pourquoi il est nécessaire d’aérer très régulièrement. Chocolat : aliment, plaisir, santé Le chocolat, un aliment qui nous veut du bien ? C’est en tout cas la thèse développée par Christine Tixier dans son dernier ouvrage Le Chocolat – Cet aliment qui vous veut du bien, paru aux éditions Eyrolles. Plaisir des sens, facteur de bien-être, aliment énergétique, le chocolat y est paré de nombreuses vertus. Polyphénols, caféine, théophylline, cuivre, fer… L’auteur passe au crible tous les micronutriments que renferme le chocolat. Elle se penche avec une délectation non dissimulée sur les recherches les plus récentes menées pour explorer ses propriétés de santé. Et au bout du compte, c’est un véritable plaidoyer pour les bienfaits du chocolat. Un plaidoyer bienvenu. L’invitation à la découverte est partout. Par le plaisir gourmand, et par celle du bien-être lié aux effets bénéfiques de cette fève qui nous est venue des Amériques. Une lecture bien appétissante… Bébé pleure ! Comment le calmer ? Ce n’est pas un scoop : durant les trois premiers mois qui suivent sa naissance, le nourrisson pleure régulièrement. C’est en réalité son seul moyen de communiquer. Contrairement à une idée reçue, le laisser pleurer n’arrangera pas les choses. Il s’énervera davantage. Pensez plutôt à utiliser quelques techniques simples qui lui permettront de retrouver son calme : – la faim et la douleur, le plus souvent liée à des coliques, sont les causes les plus fréquentes de ces pleurs. Le meilleur moyen de l’apaiser, c’est bien souvent de lui proposer une tétée ; – câlinez-le. Un tendre contact suffit souvent pour faire cesser les pleurs ; – bien entendu, pensez aussi à le bercer. Cela va l’apaiser et c’est bon aussi pour les parents ; – une petite promenade s’avère parfois fort utile, notamment après le bain et le change. Pas besoin de faire des kilomètres. Prenez-le dans vos bras, bien contre vous, et promenez-le dans la maison ; – autre solution efficace, le massage, notamment sur le ventre ou sur le dos. Le contact de vos mains le rassurera ; – donnez-lui quelque chose à sucer ; – faites-le rire en le distrayant. Bébé adore, par exemple, regarder des objets colorés ou des formes brillantes. Si malgré tous ces petits trucs il continue de pleurer ou même de crier, parlez-en à votre médecin. Mais surtout ne laissez jamais un bébé pleurer trop longtemps, seul dans son coin. Il a besoin de savoir qu’il peut compter sur vous. Source: Destination santé
Près d’un jeune Français sur deux ne dormirait pas assez

En France, 45 % des 25-45 ans considèrent ne pas assez dormir. Voilà notamment ce qui ressort de l’enquête menée par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) sur les représentations, les attitudes, les connaissances et les pratiques du sommeil des jeunes adultes en...