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Ce vendredi 29 février Faste et piété avec la musique sacrée de Brahms

C’est l’église Saint-Joseph qui accueillera la musique sacrée de Johannes Brahms pour ce vendredi 29 février dans le cadre du Festival al-Bustan. Pour la circonstance, sera donné Un requiem allemand, op 45 de Johannes Brahms, avec le chœur de l’Orchestre de chambre de Prague (que les mélomanes libanais connaissent fort bien pour l’avoir déjà applaudi plus d’une fois) ainsi que les chœurs de l’AUB, de la NDU et du Conservatoire national supérieur de musique, placés sous la férule de Lubomir Matl, Paul Meers et le révérend père Khalil Rahmé. C’est, une fois de plus, l’Orchestre symphonique national libanais, placé sous la direction de maestro Dmitri Jurowski (il a conquis le public le week-end dernier dans sa prestation avec les deux brillantes pianistes Anna Vinntskaya et Plamena Mangova), qui accompagnera et donnera la réplique aux solistes et aux chœurs. En solistes, la soprano Claudia Couwenbergh et le baryton Marek Kalbus. Quelques éléments du parcours d’une soprane née en 1975 aux Pays-Bas et qui fit ses études de chant au Conservatoire de Maastricht avec Ingrid Kappelle et Barbara Schlick. Ses rôles dans le répertoire de l’art lyrique incluent Carmen, Micaela, Pamina (La flûte enchantée de Mozart) ainsi que Belinda (Didon et Enée de Purcell). Son dernier CD chez Naxos sur La passion selon saint Mathieu de J.-S. Bach a retenu l’attention du public et de la critique. Le baryton Marek Kalbus, formé dans la pure tradition vocale italienne et issu des meilleures écoles de musique de Berlin, est vite auréolé du prix de la compétition internationale Belvedere pour les chanteurs d’opéra à Vienne. Invité aux grandes performances opératiques aussi bien en Allemagne qu’en Italie, Belgique et Pologne, Marek Kalbus a remporté de vifs succès au Teatro Massimo de Palerme, à Gênes, à Milan, à Anvers, à Prague et, bien entendu, à Berlin. Ses performances sous les feux de la rampe incluent Salieri dans l’opéra Mozart et Salieri de Rimski-Korsakov, le commandeur dans Don Giovanni de Mozart ainsi que de belles prestations dans La damnation de Faust de Berlioz, La Messe de requiem de Verdi et La Passion selon saint Mathieu de J.-S. Bach. À son actif, côté CD, Hamlet et Boris Godounov de Serge Prokofiev ainsi qu’Eugène Onéguine et La Dame de pique de Tchaïkovski.
C’est l’église Saint-Joseph qui accueillera la musique sacrée de Johannes Brahms pour ce vendredi 29 février dans le cadre du Festival al-Bustan. Pour la circonstance, sera donné Un requiem allemand, op 45 de Johannes Brahms, avec le chœur de l’Orchestre de chambre de Prague (que les mélomanes libanais connaissent fort bien pour l’avoir déjà applaudi plus d’une fois)...