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Trois passagers arrêtés pour n’avoir pas éteint leur téléphone Trois passagers d’un vol d’Alitalia entre Milan et Bari ont été arrêtés samedi à l’aéroport de Milan-Linas parce qu’ils n’avaient pas éteint leur téléphone portable alors que l’avion s’élancait pour décoller, a rapporté hier la presse italienne. Le commandant de bord – qui avait auparavant demandé par trois fois aux passagers d’éteindre leur portable – a stoppé l’avion lancé à pleine vitesse sur la piste en indiquant qu’il constatait des interférences avec les instruments de navigation de l’avion. La police est montée à bord pour interpeller les trois récalcitrants repérés par le personnel de bord. Ils seront poursuivis pour « non-observation des consignes de sécurité aérienne » et risquent jusqu’à trois mois de prison. À 9 ans, elle quitte l’école et prend le TGV pour voir son père Deux fillettes de neuf ans ont quitté leur école à Montpellier et pris le TGV pour Paris vendredi après-midi, seules et sans billet, pour rendre visite au père de l’une d’elles, avant d’être retrouvées par un contrôleur SNCF en gare de Lyon, a-t-on appris samedi de source policière. La directrice de l’école a signalé leur disparition vendredi vers 16h30, mais leur présence à Paris à 18h00 indique qu’elles ont dû quitter l’établissement au moment de la pause-déjeuner, avant de prendre le tramway pour se rendre à la gare, a précisé la même source. Les deux fillettes sont ensuite montées à bord d’un TGV dans lequel elles n’ont pas été contrôlées. Une fois à Paris, l’une d’elles, dont le père divorcé habite au nord de Paris, a appelé sa belle-mère depuis une cabine téléphonique de la gare de Lyon pour la prévenir de son arrivée. Alertée, la police a alors prévenu la sécurité de la gare en donnant le signalement des deux petites filles, mais c’est un contrôleur SNCF qui les a retrouvées le premier sur le quai d’un train en partance pour Creil. Une porte-parole de la SNCF a expliqué que l’accès aux trains ne donnait pas lieu à des contrôles d’identité systématiques et que les enfants pouvant voyager seuls à partir de douze ans, il n’était pas toujours évident de juger dans la foule s’ils doivent être accompagnés ou non. Un septuagénaire parcourt 120 km d’autoroute à contresens Un septuagénaire a semé la panique dans la nuit de samedi à dimanche en Italie en parcourant à contresens 120 km de la principale autoroute du nord du pays, entre Bologne et Modène, a rapporté hier l’agence ANSA. L’automobiliste, 71 ans, désorienté et apparemment dans un état de grande confusion mentale, a pu être stoppé par des véhicules de police au terme d’une course-poursuite et de divers accrochages qui n’ont fait que deux blessés légers. L’homme, originaire de la province de Modène, avait pris l’autoroute dans le mauvais sens en rentrant chez lui et ignorait même qu’il se trouvait sur celle-ci.