Rechercher
Rechercher

Actualités

Insolite

Il est arrêté avec des explosifs pour se suicider... par amour Un Français qui circulait avec des explosifs et un sabre japonais dans sa voiture a été arrêté sur une autoroute en Catalogne (Nord-Est) et a expliqué à la police qu’il voulait se suicider après une déception amoureuse. La police régionale catalane a annoncé mardi avoir arrêté cet homme, identifié comme étant Moulay Abel L., 30 ans, dans la nuit de samedi à dimanche, après avoir repéré sa voiture « circulant de manière suspecte » sur l’autoroute AP-7, au niveau de la Jonquera, à proximité de la frontière française. Dans sa voiture, les agents ont trouvé des explosifs « très artisanaux », composés de « deux bonbonnes de gaz butane et d’articles de pyrotechnie », et un sabre japonais (katana), a indiqué à l’AFP un porte-parole de la police. L’homme a assuré aux agents qu’il avait « l’intention de (se) suicider pour des raisons sentimentales ». Il a été arrêté pour « détention illégale d’explosifs ». La police a ouvert une enquête pour déterminer « si l’intention de l’individu était vraiment de se suicider et la manière dont il comptait le faire ». Accusé de sentir des... pieds, il poignarde son camarade de chambre Un Texan de 20 ans est accusé d’avoir poignardé son camarade de chambre parce que celui-ci lui reprochait de sentir des pieds, a annoncé la police. William Antonio Serrano a été inculpé de meurtre. « Serrano et la victime, qui étaient colocataires, ont eu une dispute au cours de laquelle la victime a dit à Serrano que ses pieds sentaient mauvais, a rapporté la police dans un communiqué. À ce moment-là, Serrano a sorti un couteau et a poignardé la victime à plusieurs reprises. » Les deux hommes partageaient une petite chambre dans un appartement de Houston (Texas, Sud) qu’ils louaient à un couple marié avec un bébé, selon le journal local Houston Chronicle. La mère et l’enfant étaient assis à l’extérieur samedi soir quand les deux colocataires se sont mis à boire dans leur chambre. Et quand ils ont commencé à se battre à propos de l’odeur nauséabonde des pieds de Serrano, la mère a jeté un coup d’œil dans la chambre où elle a vu l’un des hommes un couteau en main, a rapporté le sergent M. Sosa au journal. « Le temps qu’elle pénètre dans la chambre, et il était déjà sur l’autre homme », a-t-il ajouté. Elle a pris la fuite et a appelé de l’aide. Serrano lui aurait ensuite dit : « Je n’ai pas voulu le faire, je n’ai pas voulu le faire », a poursuivi le policier. Le décès de la victime a été prononcé des suites de plaies multiples. Son identité n’a pas été communiquée. Condamné par erreur le même jour par deux tribunaux pour le même fait Un jeune homme de 23 ans a été jugé et condamné par erreur le même jour et pour le même fait, mais à des peines différentes, par deux tribunaux, ceux d’Amiens et de Péronne (Somme), a-t-on appris de source judiciaire. Poursuivi pour avoir mis le feu le 10 juillet à des broussailles dans un champ, à proximité d’Albert (Somme), il a été jugé pour ce délit le 2 octobre par les deux juridictions, une situation extrêmement rare. Le tribunal correctionnel de Péronne, où le prévenu a assisté à l’audience, l’a condamné à un mois de prison avec sursis, avec une obligation de réaliser 105 heures de travail d’intérêt général, ainsi qu’à payer 500 euros de dommages et intérêts. À Amiens, il a écopé d’un mois d’emprisonnement avec sursis. « Ce n’est théoriquement pas possible (...) mais il faut bien admettre que c’est arrivé. C’est forcément une erreur », « vraisemblablement (...) une erreur humaine », a déclaré à l’AFP David Pamart, substitut général à la cour d’appel d’Amiens. « Ce monsieur aurait dû être cité uniquement à Péronne, mais une procédure a pris également le chemin du parquet d’Amiens (...) Personne n’a pu faire la connexion entre la poursuite à Péronne et la poursuite à Amiens avant que les deux condamnations soient prononcées », a-t-il ajouté. Pour une audience en correctionnel, le prévenu est convoqué soit devant la juridiction de son lieu de résidence, soit du lieu où le délit a été commis ou encore de son lieu d’interpellation. Or, selon le greffe du tribunal d’Amiens, l’homme est domicilié à Albert, les faits s’y sont déroulés tout comme l’interpellation. Le parquet général a demandé au parquet d’Amiens de faire appel de la condamnation de son tribunal, le prévenu et la victime étant absents à cette audience. Lors de l’examen de l’affaire en appel, la cour constatera que le prévenu a déjà été définitivement jugé à Péronne pour les mêmes faits, a expliqué le substitut général. Un « petit coin » pour ceux qui n’ont pas de toilettes L’Association mondiale des toilettes, qui vient de voir le jour en Corée du Sud, a décidé de marquer son lancement par l’inauguration au sud de Séoul d’un bâtiment en forme de cuvette de WC. L’édifice, qui fait la part belle au fer, au verre et au béton blanc, présente une ouverture symbolique dans le toit et sera ouvert aux visiteurs à partir du mois prochain. « Cette maison est équipée de quatre toilettes de luxe », a précisé l’association dont l’objectif est de fournir des équipements sanitaires dignes de ce nom aux deux milliards de personnes sur Terre qui n’en ont pas. Elle a été baptisée « Haewoojae », ce qui, en coréen, signifie « sanctuaire où l’on résout ses inquiétudes ».
Il est arrêté avec des explosifs
pour se suicider... par amour

Un Français qui circulait avec des explosifs et un sabre japonais dans sa voiture a été arrêté sur une autoroute en Catalogne (Nord-Est) et a expliqué à la police qu’il voulait se suicider après une déception amoureuse. La police régionale catalane a annoncé mardi avoir arrêté cet homme, identifié...