Actualités - CHRONOLOGIE
Skaff dément avoir vendu des terrains à l’ambassadeur d’Iran
le 25 août 2007 à 00h00
Le Bloc populaire de Zahlé a mis en garde hier « l’équipe au pouvoir contre un éventuel pari sur la perte de temps, destiné à susciter une pression internationale de dernière minute en faveur d’une solution à caractère sectaire ». Il a considéré que « ce pari est perdant parce que l’irruption d’une crise politique dans les prochaines semaines, pouvant atteindre le stade d’un vide au niveau de la présidence, comporterait des dangers énormes ».
Le Bloc populaire, à l’issue d’une réunion présidée par le député de Zahlé Élie Skaff, a prôné le dialogue national en vue d’une entente sur l’identité du futur président et la formation d’un cabinet d’union nationale « accompagnées de garanties mutuelles : d’une part l’opposition obtiendrait son tiers des sièges, et d’autre part elle s’engagerait à ne pas paralyser le Conseil des ministres ou à démissionner ». Le Bloc parlementaire a par ailleurs déploré les attaques répétées contre l’armée. Il a également considéré que « le soutien affiché et quotidien d’une grande puissance au (Premier ministre Fouad) Siniora (…) confirme la thèse d’une nouvelle hégémonie ayant ses propres objectifs ».
D’autre part, le député Skaff a publié un communiqué en son nom niant catégoriquement les propos du député Walid Joumblatt à Nahar el-chabab, selon lesquels il aurait vendu de vastes terrains dans la Békaa, d’une superficie de 600 000 mètres carrés, à l’ambassadeur d’Iran. Il a qualifié ces propos d’« illusions », et rappelé que les contrats de vente étaient enregistrés dans le cadastre et que, par conséquent, de telles informations seraient faciles à vérifier. M. Skaff a appelé M. Joumblatt à cesser de « m’impliquer dans des campagnes médiatiques diffamatoires ».
Le Bloc populaire de Zahlé a mis en garde hier « l’équipe au pouvoir contre un éventuel pari sur la perte de temps, destiné à susciter une pression internationale de dernière minute en faveur d’une solution à caractère sectaire ». Il a considéré que « ce pari est perdant parce que l’irruption d’une crise politique dans les prochaines semaines, pouvant atteindre le stade...
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